I still get the dreams and the feeling of doom • Meryl Blewulf

Ghosts don’t sing so you know that I’m alive
I still get the dreams and the feeling of doom
I don't wanna frighten you; the pills, they lie to you
You can’t stop the time when it's time that you go

I still get the dreams
and the feeling of doom

An -110, Mois 3, Semaine 5 ⊹ Plainedorme ⊹ Bief

La journée s'était écoulée doucement, il désirait autant qu'il redoutait la venue du crépuscule. Plusieurs audiences avaient été données pour régler les différents de ses gens. Souvent dérisoire rempli d'égo, d'amertume et d'intolérance, mais au moins ça avait le mérite de lui faire penser à autre chose. Autre chose que ces... souvenirs qu'il aurait préféré garder dans l'oubli. Seule la communion de la fièvre avec sa douce dissipait tous ses démons passés. Mais dès que le sommeil lui venait, les réminiscences ombrageuses inondaient son esprit. Et tel un dément il criait, réveillant lui et sa femme en sursaut. Elle avait beau lui demander ce qui n'allait pas, les mots ne lui venaient pas. Elle avait tout de même compris que cela avait un lien avec cet oncle Fellar - certainement parce que ce nom revenait souvent dans la nuit.

Lorsque Lord Blewulf ressentait la noirceur revenir, il allait dans la septière de Plaindorme. Tournant délibérément le dos à la statue du Père, il fit face à l'Aïeule et ferma ses yeux respectueusement. Plusieurs minutes de silence furent brisées par les pas du
Doyen. Neal finit ses prières, fit un signe religieux et se tourna vers le Doyen.

Doyen. fit-il en le saluant d’un signe de la tête.

Lord Blewulf. répondit-il d’un sourire doux et bienveillant. Je suis certain que l’Aïeule saura vous guider.

Je crains malheureusement qu’elle ne soigne des mauvais songes.

Nulle ne peut savoir ce que soigne réellement les Sept, mais ils donnent la voie et nous aident à être meilleur. Ensuite, il ne revient qu’à nous de faire un pas vers eux. Cela peut-être des petites actions qui nous paraissent insignifiantes, et finalement elles portent leur fruit. Devant la mine grave et dubitative du Lord, il poursuivit. Aussi insignifiant qu’une discussion.

Au côté de sa femme, tout semblait si parfait. Après un baiser, il fit un dernier sourire avant de se coucher contre elle. Sentir son doux parfum et sa chaleur, il ne connaissait rien de plus apaisant.
“La forêt” était déjà là dans tout ce qu’elle avait de rassurant et de malveillant. Les lumières feutrées et vives à la fois.Courir à en perdre haleine, car l’animal rôde, tantôt visible tantôt invisible, il se rapprochait inexorablement. Et enfin le dénouement inéluctable de cette main rocailleuse sur son épaule et de ces paroles « Tu sais que Tonton t’aime et te protège. ». Les feuilles tombaient au ralenti sur le sol dans un bruissement tout juste perceptible.
Se revelant en sueur, il n’avait pas remarqué qu’il venait une nouvelle fois de hurler. Un hurlement des plus alarmant, il était toujours dans cette torpeur intérieure.

Codage par Psyko Joke

Meryl allait mieux, la grossesse lui allait bien au teint et elle aimait sentir son ventre s’arrondir, mois après mois… Elle passa une main dans ses cheveux blonds, elle avait l’impression de sortir de l’obscurité et d’enfin retrouver la lumière. En particulier après… l’expérience jardinière, si on pouvait dire cela, qu’elle avait vécu avec son époux. Elle passait toujours ses journées dans son laboratoire… mais elle faisait bien plus attention à ce qu’elle faisait pour leur enfant ne souffre pas. Elle ne voulait pas risquer quoi que ce soit pour lui. Plus aujourd’hui, plus maintenant. Alors qu’elle avait retrouvé le goût du miel et des fraises à la crème sur ses lèvres. Qu’elle se souvenait de la saveur du soleil. Et cela malgré la mort de Laerra Flower dont le meurtrier restait dans leurs geôles en attendant la décision du roi du Bief à son sujet.

Lorsque son Neal revient de ses dernières prières, elle vient l’embrasser avant de venir se coucher contre lui dans leur lit. Elle tendit une main pour la passer autour de ses hanches. Elle resta éveillée quelques instants de plus avant de sombrer dans son propre sommeil jusqu’à ce qu’un hurlement de peur, de douleur ne la réveille brusquement. Elle ouvrit les yeux en panique alors que son époux était assis, bien droit sur leur lit. Il semblait couvert de sueur

« Neal ?! »

Elle se redressa pour venir poser en douceur une main sur son poignet, comme pour le ramener à la réalité en douceur.

« Neal ? Qu’est-ce qu’il se passe mon amour ? »

Ce n’était pas la première fois qu’il se réveillait ainsi dans la nuit. Après s’être assurée qu’il l’avait reconnu, elle s’approcha un peu plus de lui, caressant tout doucement son bras pour venir l’étreindre en douceur.

« Je suis là mon amour, tout va bien tu es dans notre chambre. »

Elle déposa ses lèvres au creux de son épaule.

Ghosts don’t sing so you know that I’m alive
I still get the dreams and the feeling of doom
I don't wanna frighten you; the pills, they lie to you
You can’t stop the time when it's time that you go

I still get the dreams
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An -110, Mois 3, Semaine 5 ⊹ Plainedorme ⊹ Bief

Sans ménagement, il dégagea son poignet du sien dans gémissement craintif. Il était visiblement encore sous le joug du spectre sombre de son songe. Son visage témoignait d’une terreur profonde et sourde. Il arrivait enfin à percevoir la voix de sa femme.

Je… j….

Aligner quelques mots semblaient demander bien plus d’efforts qu’il ne le pensait. Puis qu’y avait-il à dire ? Remarquant l’inquiétude notable de Meryl, il comprit qu’il avait recommencé. Son étreinte était d’une douceur et d’un réconfort plus que nécessaire au pauvre Lord. Il porta ses mains à son visage, il n’avait même pas remarqué qu’il avait commencé à pleurer. Il avait l’impression de devenir fou, impossible de trouver le repos avec ce tourment qui venait le traquer jusque dans ses rêves.

Codage par Psyko Joke

Meryl resta silencieuse avant de venir prendre son époux doucement dans ses bras, passant ses doigts dans ses cheveux pour le bercer comme un enfant alors qu’il pleurait. Elle déposa à nouveau ses lèvres sur son épaule.

« Je suis là Neal… Je suis là mon amour… Tu es en sécurité, chez nous, dans notre foyer… »

Elle caressa tout doucement son visage en essayant de le faire revenir à la réalité.

« Que se passe-t-il Neal ? De quoi as-tu rêvé pour que tu hurles ainsi ? »

Elle continuait ses gestes tendres et emplies d’amour.

« Je suis là… veux-tu du vin ? De l’eau ? Quelque chose ? »

Elle tentait de le rassurer et de l’apaiser.

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An -110, Mois 3, Semaine 5 ⊹ Plainedorme ⊹ Bief

Ses mains dans sa chevelure l'apaisaient. Jamais sa mère ne lui avait témoigné un tel traitement affectueux… Ou peut-être l’avait-il oublié ? Et puis à quoi bon se bercer d’illusion ? Sa mère tout comme son père ne l’avait jamais aimé, c’était ainsi. Il était un divergeant, un fils indigne doublé d’un sodomite. Le baiser et les mots doux de sa femme l’arrachait à ces songes sombres et enfin il découvrit ses yeux rougies et ses joues humides. Ses douces caresses sur son visage lui permirent petit à petit de retrouver une certaine quiétude.

Parler de son songe ? Il voulait l’oublier. Il serra sa femme contre lui, comme si elle allait disparaître d’un moment à un autre.

Il n’était pas difficile de comprendre qu’il s’agissait encore et toujours du même cauchemar. Un cauchemar qui avait lien avec cet oncle, oncle Fellar. Que pouvait bien être ce cauchemar pour que chaque nuit il se réveille en hurlant ? Pourquoi ne voulait-il pas en parler ? Autant de mystère que Meryl allait tenter d’élucider. Jusqu’ici elle avait toujours réussi adroitement à le faire parler de sujet qu’il ne voulait aborder et elle était bien trop entêtée pour laisser couler ce genre de choses.

Codage par Psyko Joke

Meryl serra les dents en laissant son époux la serrer contre lui. Oncle Fellar. Depuis quelque temps elle avait bien compris que c’était sa faute à lui si son époux allait si mal. Elle l’embrassa avec tendresse en continuant de passer ses doigts dans les cheveux de son époux. Elle continuait de caresser ses joues… Jusqu’à prendre la parole :

« Tu as cauchemardé de ton oncle Fellar ? N’est-ce pas ? »

Elle prit son visage dans ses mains pour venir l’embrasser.

« Raconte-moi, parle-moi Neal, dis-moi ce qu’il t’a fait ! »

Elle ne pouvait plus le laisser ainsi. Tout doucement elle posa son front contre le sien, laissant son souffle caresser son visage.

« Je t’aime… Je ne veux pas te voir souffrir ainsi. Alors parle-moi, explique-moi ce qu’il t’a fait. Je suis là pour toi. »

Elle continuait d’essuyer ses larmes, de le bercer de tenter de l’apaiser autant que possible.

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An -110, Mois 3, Semaine 5 ⊹ Plainedorme ⊹ Bief

Les larmes venaient dans les sillons de l'épiderme des doigts de sa femme. Ses joues commençaient peu à peu à sécher. Pelotonné contre sa femme, il se raidit en entendant le nom de son tortionnaire. Il répondit tout juste à son baiser, son visage semblait toujours hanté. La mine grave et désolée, il finit finalement par lui dire:

Je ne peux pas... C'est impossible.

Elle savait comment l'apaiser, toutefois il émettait encore bien des difficulté à parler pleinement de ce "cauchemar" pour ne pas dire traumatisme refoulé.

Je le sais ma douce. Et tu sais que je t'aime plus que tout au monde...Fit-il en mettant ses mains sur les siennes avant de les faire retomber doucement. C'est trop dur... Je ne veux pas te perdre. Il regarda un instant le ventre de sa femme et même si son ventre n'était pas encore rebondis, ils savaient tout deux que quelque chose grandissait. Je ne peux pas me permettre de vous perdre... Je suis désolé, je t'empêche de quérir le repos que vous méritez. Je ferai mieux d'aller brosser Albâtre, ainsi tu pourra dormir.

Neal fit mine de se lever ayant en tête d'aller aux écuries ou peut-être devrait-il donner des coups d'épée ou de poing dans les mannequins d'entrainement.

HRP: Albâtre est le cheval d'Adam

Codage par Psyko Joke

Meryl ne dit rien continuant de serrer contre elle cet époux qu’elle aimait plus que tout et qui lui avait permis de retrouver l’amour pour son corps et son cœur. Elle avait besoin de lui. Mais surtout à cet instant elle ne laisserait plus personne faire du mal à sa famille. Il essayait de la protéger… mais aujourd’hui, c’était à elle de le faire. Impossible ? Elle l’aimait tellement… Il sembla tenter de s’éloigner, évoquant le fait de partir…

« Non ! Tu restes ! »

Elle le tira à elle, le plaquant peut-être un peu trop fort contre son torse, ses ongles dans sa chair pour l’empêcher de partir.

« Tu restes Neal ! Et… Qu’importe ce qu’il s’est passé, tu m’aimes alors que tu sais ce que j’ai subi à Dorne ! Tu m’as appris à m’aimer à nouveau. Qu’importe ce qu’il s’est passé Neal. Je t’aime et cela ne changera rien ! Alors je t’interdis de partir jusqu’à ce que tu m’eusses dit la vérité. Je ne pourrais jamais me rendormir en sachant que tu souffres. »

Elle soutient son regard, la mine sérieuse, elle ne lâcherait pas sans avoir eu une réponse !

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An -110, Mois 3, Semaine 5 ⊹ Plainedorme ⊹ Bief

La voix de sa femme claqua comme un fouet dans la chambre. Il y ressentait tout l'amour mais aussi le désespoir des mois passés. La promesse qu'il avait formulée ne saurait être brisée. Son corps contre le sien le luirappelait bien, à moins que ce n'était ces griffes enfoncés dans sa peau. Il eut une légère grimace de douleur.

Ses phrases remplient d'amour et de vérités dont il avait tant besoin, mis en émoi le coeur d'Adam. Avait-il oublié à quel point sa femme pouvait être passionnée et possessive ? Ou était-il trop centré sur ses mauvais songes ? Le fait est qu'il fut touché par tant d'affection, non pas parce qu'elle ne lui en témoignait pas, mais parce qu'il en avait besoin plus que tout.

Son regard était si intense et si déterminée. Elle ne le laisserait pas fuir comme il le faisait à chaque fois. Il soupira.

« Tu vas me séquestrer dans cette chambre tant que je ne t'aurai pas tout dis ? Je dois avouer que la proposition est tentante, rester des journées enfermées ici avec toi ressemble en tout point à la meilleure des destinées. »

Une pointe d'humour qui marquait bien à quel point il était mal à l'aise et anxieux. Puis il s'éclaircit la gorge.

« Dès mes 7 jusqu'à mes 12 printemps, je participais aux chasses avec mon oncle. Il était persuadé que j'avais un grand potentiel et avait convaincu mes parents de m'emmener seul avec lui dans leur bois. La forêt était incroyablement grande, belle et riche en proies. Un jour nous avons eu la chance d'apercevoir le roi des bois comme il aimait l'appeler. Un cerf aux bois si imposants. » Ses yeux témoignaient d'une profonde inspiration en mentionnant l'animal, si bien qu'on aurait dit un enfant. « J'appréciais ces moments de liberté loin de mes parents. J'aimais aussi profondément mon oncle, il me soutenait quoi qu'il arrive. » En disant ses paroles, son regard changea. « Depuis plusieurs je fais ce même cauchemar… Je cours dans feuilles mortes. Deux perdrix pendent à ma ceintures. Je suis si fier. Je cherche mon oncle afin de lui montrer mes prises. Après quelques minutes de recherches, je le trouve enfin. Ou du moins ses vêtements dans un premier temps… »

Ses yeux semblaient loin et vidés de toute vie. Des yeux qu'avaient eu sa femme quelques mois plus tôt. Des yeux qu'il n'avait pas conscience d'avoir.

Il espérait qu'elle comprendrait de par elle-même, mais c'était bien ambitieux avec le peu qu'il avait dit. Allait-elle se risquer à deviner la suite ? Tout ceci ressemblait en tout point à une découverte macabre.

Codage par Psyko Joke

Meryl toisa son mari et lui offrit un sourire tendre à sa remarque et caressa tout doucement son visage.

« Et j’ai de quoi te faire parler et même chanter pendant quelques jours sans difficultés. »

Elle resta immobile, en l’écoutant, son cœur se serra avec douleur quand il commença à tout lui expliquer. L’envie de vomir lui monta à la gorge ! Et ce n’était en rien dû à la grossesse. Elle attrapa le visage de son époux entre ses mains, ses yeux étant reflets des siens il y a quelque temps.

« Il t’a violé. »

Affirma-t-elle en le regardant dans les yeux.

« Ce monstre… t’as violé… Il t’a violé et tu n’étais qu’un enfant… »

Répéta-t-elle en fixant son époux. Une colère froide s’éleva dans son cœur, mais elle prit son époux dans ses bras.

« Oh… mon Neal… »

Elle se mit tout doucement à le bercer contre elle.

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An -110, Mois 3, Semaine 5 ⊹ Plainedorme ⊹ Bief

Les yeux fuyant, il éprouvait une honte incommensurable. Il n'avait aucune idée de ce que cette révélation allait engendrer. Il avait juste peur de tout perdre.

Elle avait compris, évidemment qu'elle avait compris. Comment aurait-il pu en être autrement. Elle et lui étaient pareils.

Foudroyé par la vérité brutale, il demeura inerte et incapable de réagir. Des perles coulaient le long de son visage. Jamais il ne s'était senti si vulnérable. Il avait envie de disparaître.

Il resta un long moment contre sa femme. Puis, il se redressa et lui dit d'une rage ravagée de l'intérieur :

Je veux qu'il meure.

Cette honte insoutenable ne pourrait disparaître qu'avec lui.

Je veux qu'il souffre terriblement, qu'il agonise lentement et qu'il me supplie de le tuer. Son regard revint sur Meryl. J'aurai besoin de tes services d'herboriste.

HRP : Voici une réf pour que tu aies une idée du regard qu'il a quand il dit vouloir tuer son oncle.

I still get the dreams and the feeling of doom • Meryl Blewulf Ebeeaa12

Codage par Psyko Joke

Meryl eu une caresse douce sur son front en hochant la tête. Il pleurait… Mais elle se promettait de sécher ses larmes et qu’il puisse respirer à nouveau. Elle dit les termes tranquillement, non, pas tranquillement. Elle le dit brutalement en le serrant contre elle pour le rassurer. Son regard, elle le comprenait, elle le voyait. Avait-elle eu le même ? Sans doute. Elle comprenait parfaitement et caressa tout doucement son visage.

« Je comprends bien. Je voudrais aussi que ton oncle meurt pour ce qu'il t'a fait. »

Elle soutient son regard en hochant la tête avant de sourire simplement à sa remarque et de venir l’embrasser délicatement.

« Je t’aiderais à le faire… Je veux qu’il rampe à tes pieds… Et qu’il te supplie encore et encore… »

Elle avait toujours beaucoup d’idée pour faire souffrir ceux le méritant.

« Comme l’homme qui a tué Laerra… Nous le ferons souffrir ensemble. Rappelle-toi nos vœux de mariage. »

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An -110, Mois 3, Semaine 5 ⊹ Plainedorme ⊹ Bief

Adam, enfin Neal avait toujours trouvé cette femme remarquable, ce pourquoi il avait tant voulu mériter sa main. Elle était différente, il le savait. Son baiser saupoudré de profération de haine était des plus exquis.

Il espérait faire souffrir au moins autant que ce vil chevalier qui avait profané les règles d’hospitalité, puisse l’Étranger le punir dans l’au-delà.

Bien sûr qu’ils se rappelaient de leur voeux de mariage. Son regard se fit plus doux et amoureux que jamais.

Je suis tiens et tu es mienne à partir de ce jour et ce jusqu’à mon dernier souffle.

Plus que tout au monde, il la désirait et il voulait qu’elle le désire. Plus jamais il ne se sentirait seul ou délaissé. Il l’embrassa avec ferveur.

Codage par Psyko Joke

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