L'ordre et le chaos... Se sont deux choses qui ne peuvent se soustraire l'un de l'autre. L'un n'existe oas sans la présence éventuelle de l'autre. C'est ainsi que le monde fonctionne. Dans le sombre regard d'un jeune garçon, une justice sommaire est donné devant lui pour qu'il apprenne des erreurs des autres. Pourtant la faute lui incombait car c'est lui qui a commit l'objet de cette punition. Le jeune garçon d'écurie se faisait donc roué de coups par la faute d'Osbert. Il n'était personne et Osbert était un Costayne. La punition était donc celle donné mais pour lui rappeler deux choses. Les puissants pouvaient éviter des problèmes bien inutiles quand on avait un titre et un nom. En revanche la réputation elle se façonnait et s'érigeait telle un temple, un monument dédié aux Sept.

Sa soeur Myrielle le savait chahuteur, elle était toujours présente dans ses souvenirs, sa mémoire toujours avide de sa personne. Elle était un tout à ses côtés. Sa famille c'était elle et d'une certaine manière indicible il ressentait cette attache ancrer à vie. La tragédie voulu qu'il perde sa soeur dans un incendie, loin de sa famille lui se blâmant de croire qu'il aurait pu la sauver, son visage la hante jour et nuit. Dans les préceptes et le religion des Sept on lui avait enseigné qu'un événement malheureux suivait souvent une éclaircie, une lumière pour redonner de la bonté en ce lieu que l'on pourrait caractérisé de particulièrement froid et dangereux. Le monde laissait derrière lui une orpheline qu'Osbert prit sous son aile comme oncle mais surtout comme mentor pour la jeune petite. La fille de sa sœur avait rechapé aux flammes.

Elle reçue la meilleure éducation qu'il puisse être donnée plus qu'une nièce il la considéra rapidement comme sa propre enfant. Elle ressemblait tellement à sa défunte Myrielle qu'il ne pouvait voir qu'au travers elle une réponse depuis l'au delà de la part de celle qui avait agaillé son enfance. Strict, sévère il ne laissa aucun répit à celle qui devait devenir l'égal de son oncle et peut-être même le surpasser. Dans les intrigues de la cour et dans l'espionnage le jeune Osbert avec le temps se faisait une place à bonne école auprès des Hightower au service de la couronne. La maison Gardener était une maison valeureuse, ancestrale mais les récents événements avec les dissensions et les faux pas de Dorne en manière de diplomatie et de politique faisaient pressentir un changement. La guerre...

Pour Osbert il était difficile de percevoir les bons fondements des rumeurs et des choix du roi Gyles III Gardener trop occupé à vouloir rassurer d'un côté les nobles les plus conservateurs tandis que les actes de Haut-jardin renvoyaient à brisé la paix face aux ennemis des orageois pour défendre leurs intérêts et non ceux du Bief. Osbert se devait de rester prêt et d'instiguer entre faire profil bas et marqué ici sa différence avec le reste des maisons féodales. Il sait qu'il pouvait compter sur une personne la seule digne de confiance Lusia.