Chapitre 1 : House Agderys
Un hurlement strident , presque intenable pour les gens de maisonnée . Le labeur de Dame Agderys durait déjà depuis fort longtemps dans la nuit. Les souffrances d’une femme étaient audibles dans le couloir. Difficile pour les serviteurs de soutenir leurs regards en entendant cela. . On apporta du linge humide , trempé dans l’eau tiède. La bataille qui vivait ma mère s’annonçait ardue.
- On va essayer debout …Deux servantes prirent soin de lever ma mère en douceur. L’accouchent sur pied était longuement pratiqué e et recommandé ici à Volantis. Le linge sale , rougi, passant de main en main témoignait de la rudesse du labeur de ma mère. Tandis qu’elle enfonçait ses ongles dans le creux des mains des autres dames qui la maintenait debout , c’est dans ses hurlements que je vis le jour. Soudainement et pendant un bref instant le calme gagna la pièce.La maison Adgerys venait d’avoir un nouveau membre.
Valyrienne jusqu’à la moelle, la pureté de notre sang signifiait beaucoup pour nous. Masœur, ,Vaenecya m’avait expliqué d’où elle venait, la manière dont elle était venue au monde. Nous venions de la Valyria , terre mythique et seul joyau de notre monde. Notre fratrie était composée de trois personnes, Vaenycya , Dregon ainsi que moi-même. Ma mère aspirait à avoir un enfant de plus mais nos mestres lui avaient dit qu’un énième accouchement lui serait fatal.
La maison Agderys constituait une importante force commerciale de Volantis. La flotte marchande, forte d’une douzaine de navires dont trois immenses caraques de transports assurait d’excellents revenus et bien sur participait à l’essor de la ville , berceau d’un nouvel ère valyrien. Certaines Maisons s’illustraient par leurs armes et leurs faits de guerre, d’autres le commerce… Nous étions ce genre de personne. Le nerf de la guerre n’est-il donc pas assuré par des bourses remplies de pièces sonnantes et trébuchantes ?
L’héritage de notre maison revenait à Vaenicya , notre ainée. Père l’avait toujours bien vu, elle le vénérait , tout comme moi. Ce qu’il fallait noter , c’était la présence d’une garde renforcée depuis la mort de mon père. Ma sœur était sur les dents concernant cette ville, cette même ville qui a emporté Baelor son fiancé
Ce que j’aimai par-dessus tout c’était la camaraderie, l’affinité que je pouvais ressentir avec ma sœur. Bien plus proche de l’ainée que du cadet , Dregon semblait vouloir s’isoler lui-même s’enfermer dans ses propres dires et pensées. Ma sœur me répétait sans cesse de me méfier de notre frère, qu’il apporterait la ruine de notre Maison.
Avec trois enfants, les rêves de notre père semblaient assurés d’exister.
Nous étions de sang valyrien, le plus pur qui soit. Lorsque l'an -114 sonna le glas de cette digne et glorieuse civilisation, le peuple valyrien fut décimé, seuls les plus avisés et ceux qui n'y étaient pas présents au moment du fléau survécurent. Était-ce dû à un déséquilibre de la magie valyrienne , un fléau divin...Difficile à dire , le monde entier allait vivre dans le traumatisme de la perte d'une si grande civilisation. Le cœur Valyrien quant à lui persistait toujours , grâce aux intentions de Volantis, leur volonté de réaffirmer l'hégémonie valyrienne en Essos. Les élites de la cité se voyaient comme les digne successeur de leurs aïeux. J'étais là , présente aux côtés de ma mère et ma sœur lors de la proclamation du nouvel Empire.
Chapitre 2 : Knowledge is a weapon
Mon frère me disait toujours que d’un bon rapport armé dépendait le pouvoir. Il se trompait, le savoir constituait le véritable pouvoir Je l’avais bien saisi. Très vite. Lorsque j’appris à lire, je passais une bonne partie de mes semaines dans notre bibliothèque familiale, mère m’y invitait à y passer souvent. Selon elle, le savoir est une des meilleures armes qui puissent être.
A Onze ans, l’envie d’en savoir plus ,de découvrir notre monde, se faisait pressente. Mon père savait qu’en sortant du cocon familial tout serait plus formateur. Alors que j’étais encore qu’une enfant il avait pris soin avec ma mère de m’expliquer les dangers qui nous entouraient. Lorsque vint le moment ou je commençais à sortir, il dotait ma garde des quelques lames de la Maison, des gens prêts à donner leur viepour le sang Agderys.
Ma mère me mit en relation auprès de mestre Quorcent , un des archivistes de Volantis. Elle savait mon gout pour l’Histoire et elle connaissait l’homme depuis quelques années maintenant. Il était pas rare que je rejoigne le mestre quelques après-midis. La beauté des archives de Volantis et le savoir de Quorcent m’avait toujours intrigué.
Sortir, voir le monde c’était ce qui m’intéressait le plus, apprendre au grès de mes rencontres. Lorsque la gestion de la maison revenait à ma sœur après la mort de mon père, cette dernière semblait vouloir me protéger. Ses sermons ? J’en avais souvent droit , pour elle , une femme de mon âge qui sortait dans Volantis s’apparentait à une situation trop dangereuse.
Les bouquins et surtout l’art des archives constituaient mes véritables hobbies. Quorcent se plaisait à voir la joie dans mes yeux quand il me montrait ses parchemins. Puisque ma sœur n’aimait guère me voir déserter le foyer familial je n’avais points d’autre choix que de ruser. L’intendant de la maison Agderys avait un de ses enfants qui avaient mon âge. Il n’était pas rare que je me faufile dans ses appartements pour en dérober quelques-uns de ses vêtements pour les enfiler et ainsi dissimuler mon identité. C’était mauvais en un sens , et très mal vu mais j'en avais cure , l’appétit de connaissance , la curiosité était bien trop grande , je me devais d’épancher cette soif.
Nombres de mes sorties s’étaient faites de la sorte sans que Vaenicya ne remarque quoique ce soit. Avec un simple pourpoint masculin , des bottes ainsi qu’un pantalon ceintré et une bonnet pour camoufler ma chevelure , il était clair que je devais plus du tout ressembler à la jeune vayrienne que j'étais.
Si je voyais cet appétits pour les sciences comme une opportunités de me rendre digne de mon instruction, digne de mon nom , j'avais du faire une croix sur certaines choses auxquels d'autres personnes pouvaient tenir. Les heures , les journées passée dans notre bibliothèque ou en salle d'archive ne me permettait guère de me forger une enfance classique. Si mon frère m'enjoignait à sortir, me faire des amis , le temps passé dans mes livres m'avaient privé de tout cela, de contacts avec les autres de mon âge. Jeune je n'en éprouvais guère le besoin. C'est en prenant de l'âge que je compris que ce vide, ce manque de contact social me pesait. Je n'avais que pour seul amis les enfants des gens de notre maisonnée et les partenaires de jeu que j'avais d'autres maisons proches des Agderys. Les livres m'avaient quelque peu ôté cette enfance normale, Vaenicya l'avait bien vu.
Si mon frère cadet préférer s’enfermer, s’isoler lui-même dans les méandres de la bassesse humaine et autre dépravation, ma sœur quant à elle s’évertuait à assurer l’héritage de mon père. Je savais pertinemment qu’à terme je pouvais l’aider, je l'aiamis et je voulais le meilleur pour elle.
Lorsque l’une de mes escapades nocturnes fut découverte par ma sœur cette dernière m’en avait parlé pendant un temps, avançant l’idée de l’irresponsabilité dont je faisais preuve. Elle savait cependant que je ne pensais pas à mal , que j’aspirais à vivre , a découvrir le monde pour mieux me former. Elle avait fini par accepter cette idée, pour peu que j’acceptais le fait d’avoir une garde rapprochée durant mes sorties.
Mère m’a toujours dit que j’étais différente. Elle l’avait su , l’avait pressentie. Cette affirmation était-on ne peut plus prêt lorsque une nuit je fus réveillé en sursaut par un cauchemar. Un homme dans la rue , un jeune garçon. C’était le fils ainé de Dymerion Ephos , l’un des triarques en fonction à l’époque. Son ainé âgé de seulement vingt et un ans et fut suivi par deux assassins ils le tuèrent à même la rue, la gorge tranchée.
J’étais là , j’avais tout vu. Présente dans mon rêve comme une simple passante je souvenais encore du visage buriné que pouvait voir d’un des agresseurs qui s’était empressé d’écraser sa main sur ma bouche pour prémunir tout cri , puis la vue de sa lame puis plus rien…Le réveil en sursaut.
Racontant cet affreux songe à ma famille de maniére assez précise , ma mère comprit aussitôt que ce n’était point anodin. Elle chargea Lyssana , une de nos servantes et véritable confidente de Dame Agderys de chercher la Prêtresse Oleana , une mystique de Volantis. La sorcière avait fait plusieurs fois l’allée venu entre son repaire et notre demeure familiale pour m’examiner. Du haut de mes onze ans j’ignorais ce qui se tramait , ce que j’vais bien pu faire. Sa conclusion fut sans appel, j’étais doté du don de vision. Selon elle les flammes décupleraient mes sens.
Le corps sans vie d’Eleos fut retrouvé des mois plus tard. J’vais donc vu sa mort presque six mois avant les faits , aurais-je pu changer cela ? En avertissant la garde ? Mère ne cessait de me dire que non et Vaenicya prenait cela comme la volonté divine.
Les songes prémonitoire , ce que mère appelait à juste titre vision était douloureuse, tant pas par la souffrance physique que je ressentais que la fatigue qui me frappaient de semaines âpres mes prémonitions. Je ressentais tout , si pendant un rêve quelqu'un était blessé je pouvais sentir sa souffrance , la partager. La mystique n'avait rien trouvé pour m'aider à réduire les effets secondaires. Le don de vision était une bénédiction pour certain , une malédiction pour d'autre. Je n'avais pas encore l’entière compréhension de ce don pour pouvoir émettre mon propre avis sur la question.
Chapitre 3 : the dark side of humanity
An -110, mois semaine 4,
Moment important pour les Agderys Alors que nous étions, ma garde et moi plongé dans la clarté de cette journée magnifique nous nous apprêtions à rentrer chez nous. Les Trois gardes me suivaient à moins de deux pas derrières moi. Saluant les visages qui me paraissaient familiers je descendais les marches menant à une rue en contrebas.
Vaenicya allait me voir radeuse avec cette nouvelle robe que je venais de récupérer chez l’artisan. Notre groupe évolua parmi le dédale de recoins que composait Volantis. Quittant les allées bondées pour prendre des ruelles plus tranquilles pour faire plus court ce fut à ce moment précis que je sus que ce n’était pas une bonne idée.
Un homme me barrait la route. Ma garde dégaina, tous comme un seul homme. Deux de mes combattants furent plaqués par deux autres agresseurs sorti de l’obscurité, vif les coupes jarret immobilisèrent les soldats qui n’eurent pas le temps de réagir. Très vite leur sang tacha le sol pavé. La surprise était trop grande. Un des malheureux finit la gorge tranchée, le cadavre chutant à mes pieds.
Prise de panique je reculais d’un pas tandis que fut prise. Ser Leford, un de nos hommes doté d’une tout autres expérience tenant tête à son assaillant qu’il maitrisa sans difficulté. Un malfrat resserra son emprise sur moi puis un cliquetis métallique et le hurlement de Ser Leford. Un autre homme venait de sortir de l’obscurité, la main fermement crampée sur la crosse de son arbalète. Le trait avait blessé Lekart à la cuisse qui fut vite désarmé est immobilisé.
Mes ravisseurs avaient clairement le dessus. De haine, de colère je m’empressais d’écraser le pied de l’’homme qui me détenait. Dans un râle de douleur je sentis son étreinte perdre de sa force. Ma main serra le manche de ma dague à la ceinture puis :
- ORDURE !!!!!En un hurlement et un coup déterminé j’attaquais ma cible Il me lâcha mais c’était sans compter son comparse qui en un geste me désarma. Un coup en plein torse me priva de toute capacité défensive. A genoux , à leur merci je fus vite bâillonnée les mains liées. L’homme que j’avais blessé porta de nouveau son attention sur moi, le bras légèrement entaillée.
- Salle petite pute !!!!Une gifle, puis une seconde, la joue douloureuse je tentais un regard, hurlant telle une furie. Forçant sur mes liens.
***
L’obscurité dans laquelle la petite pièce ou j’étais détenu était frappante. Point de fer aux poignets et une chaine à la cheville assez longue pour me permettre néanmoins quelques mouvements. La robe encore tachée du sang de mon agresseur.
Un petit banc rongé par les affres du temps et un pot de chambre , c’était les seuls mobiliers présents dans la pièce délimitée par des barreaux et une porte épaisse. Ce qui me frappa néanmoins c’était cet air iodé que je pouvais sentir. Les sens en éveil j’attendis patiemment , le cri des mouettes puis le sac des vagues. Peu importe ou j’étais, la mer faisait donc partie du décor. Sur le mur du fond une petite fenêtre dont les barreaux semblaient aussi imposants qu’une herse faisait rentrer le peu de lumière.
Prenant le pot de chambre et le retournant pour le poser au pied du mur, à l’aide de mes petits pieds je m’étais donc dressé sur le dos du pot pour mieux voir au travers des barreaux. Le Port de Volantis se devoilait alors, je n’avais pas quitté la ville, c’était rassurant. De l’autre bout, au niveau de la rive d’en face je pouvais voir le toit caractéristique de Villa Agderys. Les miens étaient donc là, tout prêt.
Redescendant de mon perchoir de fortune je me mis à penser. J’avais pu, au gré de mes heures de travail avec Quorcent , voir passer dans son bureau des plans de la ville. Sondant ma mémoire et adaptant ce que je pouvais en tirer avec ma découverte actuelle je pouvais déduire que je me trouvai dans les entrepôts, sur les quais est. Les bâtiments alloués aux marchands et autres marins. Si je pouvais avertir Vaenicya ou ne serait que mon frère depuis ici , ils seraient là d’une minute à l’autre.
J’essayais de faire des signes mais la rive d’en face semblaient bien trop loin. On m’avait retiré toute parure , dommage , j’aurais pu m’en servir. Cherchant un moyen de les avertir je passais je remarquais qu’un plateau , usagé trônait dans un coin sombre de la pièce. De l’argent.
Longtemps j’avais pris soin de recouper le métal déchirant un petit bout de ma robe et au grés de beaucoup de salive. Lorsque mes geôliers vinrent me rendre visite il ne trouva pas ce plateau que je choyais depuis à présent depuis un moment.
Mes repas étaient présents, du grog , rien à voir avec les plats raffinés est prestigieux que les Agderys mangeaient. A la matinée du Cinquième jour de captivité je mis mon plan à exécution, m’emparant du plateau fraichement lustré, grimpant de nouveau sur mon perchoir de fortune. L’argent et le soleil eu l’effet escompté. Le reflet lumineux qui en dégageait avertirait sans doute ma propre sœur. Je connaissais ses habitudes , marcher sur le port était quelque chose qu’elle aimait faire. J’ignorais depuis combien de temps j’étais là, perchée sur un pied à m’évertuer à avertir els miens mais la porte de l’entrepôt qui s’ouvrit me déstabilisa. Prise sur le faîte, surprise, la jambe vacillante ce fut une Naerelyss qui chuta lourdement sur le sol que mon geôlier aperçu. La chute fut douloureuse et la rage d’voir foiré mon plan l’était tout autant. Le plateau glissa dans un bruit sourd de l’autre côté de la pièce , sous le barreau qui constituait la délimitation de ma zone de vie.
- Tu es rusée petite…Admirable …Dit l’inconnu avant de récupérer le plateau. Me relavant timidement, mes mains se refermant à m’en meurtrir les paumes. L’homme était brun , la cinquantaine. Une épée courte trônait à sa ceinture.
- Relâchez-moi… Vous ne savez pas à qui vous avez affaire !!! Un pas , puis deux , l’homme se rapprocha alors des barreaux présents au mur. Le rayon de soleil éclairant son visage. Il était là mon geôlier , me dévoilant enfin ses intentions.
- Au contraire…Je sais très bien qui tu es Naerelys…Fille des Agderys….N’aie crainte, tu reverras bientôt les tiens…À condition que ta sœur suive nos instructions. Que se passait-il ? Ces gens avaient certainement des comptes à rendreavec notre maison. L’homme repris :
- Il y a trois mois…Les Agderys nous ont promis étoffes et vins…Une transaction pour un total de près de trois mille dragons d’or….- C’est une belle petite somme…Un silence , puis un pas , puis un nouveau. L’homme s’était encore approché. Il baissa les yeux avant de poursuivre son récit.
- Le navire ainsi que toute la marchandise à sombrer. Si les Agderys ont de quoi assurer ce genre de sommes, ce n’est pas notre cas. Nous voulons simplement récupérer notre argent. Cela aurait pu se finir d’une tout autre façon si ton frère n’a pas envoyé mon fils se faire mettre !
Mon frère n’était pas un politicien, ni même habile dans les affaires de la famille. Ces hommes n’auraient jamais de l’avoir affaire à lui.
- Ce n’est pas avec mon frère qui faut voir pour ces affaires-là mais ma sœur, exposez-lui votre grief elle se ferait une joie de vous aider…. - Ce que tu dis est inexacte puisque nous avons envoyé deux missives à la charmante Vaenicya, l’une est restée sans réponse tandis que l’autre expose son refus catégorique. Si les Agderys pense que nous allons nous assoir sur près de trois mille pièces… Vous vous trompez….Il devait y avoir une erreur , si ces hommes me laissaient parler à ma sœur nous pourrions trouver une solution. C’était ce que j’allais proposer mais l’homme surenchérit.
- Sais-tu combien vaut une esclave de ton âge, valyrienne de pur sang qui plus est à Aastapor ? De quoi largement couvrir les trois milles Dragon d’Or… Mon regard qui fixait auparavant les bottes de l’homme se perdit dans son regard. Avais-je bien entendu ? Il projetait donc de me vendre.
- Vous plaisantez !?
- Je suis on ne peut plus sérieux jeune fille… Je suis prêt à ouvrir des négociations avec ta sœur. Je veux voir l’étendue de l’argent, après quoi tu pourras rentrer chez toi… Sinon… Pestant , saisissant les barreaux de rage je me rapprochais davantage . Mon interlocuteur pouvant sentir un souffle chaud , comparable à celui d’une véritable dragonne.
- Vaenicya vous fera couper les bourses !!!!!
Un rire froid , gras, il ne prenait pas cela au sérieux visiblement. Il recula d’un pas prêt à partir.
- J’espère pour toi jeune fille que ta sœur est plus encline à parlementer qu’à verser le sang…Je l’espère de tout cœur. En attendant nous allons encore la laisser baigner dans son inquiétude et nous la contacterons dans une semaine.Puis il partit, me laissant là avec toutes ces affirmations. Ma sœur me laisser là comme ça , je ne pouvais pas admette une chose pareil. J’étais une Agderys , cette Maison au Dragon. Comme ces créatures d’antan j’étais bien disposé à me batte….et à ne ployer le genou sous aucun prétexte….