Le siège des jumeaux s'amorce brutalement dans le vacarme des tirs sur la rive aux armoiries du lion rouge de Castamere. Les forces se mettent en marche l'assaut est lancé. La piétaille conflanaise malmenée par les tirs en provenance des deux châteaux fortifiés opère sans sommation. La tour de l'eau se dresse inébranlable au dessus de l'arche de pierre se formant au dessus de la Verfurque. Les premiers tirs de trébuchets touchent de plein fouet la forteresse alors que les fortifications de bois se mettent à flamber comme du petit bois. De l'autre côté de la rive les forces riveraines de lord Bracken se heurtent à la grande porte de bois et entame l’enfoncement de la porte dans les coups abruptes et puissants du bélier fulminant de ses nasaux de bois l'aura déterminée du souffle chaud et du sang ruisselant dans la boue. Les soldats s’agglutinent, soulèvent boucliers et rondaches pour protéger leurs positions fébrilement acquises et déjà la deuxième vague armée doit venir soutenir la première brisée par les salves répétés de part et d'autres des forteresses Frey.

Dans l'établissement de ses défenses, le seigneur Frey avait pourtant laisser des failles.La discrétion les faisaient passer pour des serviteurs tout aux plus aux regards des différents sujets. Eux patiemment attendaient le moment opportun pour frapper un grand coup. Plusieurs semaines s'étaient écoulées depuis leurs arrivées alors que les caravanes marchandes étaient pour un temps mises à rudes épreuves des attaques de groupuscules entraînés et rompus à l'exercice. Ces hommes étaient envoyés par celle qui animait en son sein une vengeance lointaine. Sa souffrance et sa peine, la désillusion qu'elle avait pris de plein fouet au visage rendait encore ses joues chaudes et honteuses de cette ignominie qu'une fille peut subir de son propre père. On le surnommait Elijah, il ou elle n'étaient pas prête de pardonner ce que lui avait fait subir le vieux Frey, son propre sang, celui qui portait le nom de père et qui l'avait lamentablement jetée en pâture aux insulaires venu ravager et piller ses terres. Les bandits se mêlèrent aux serviteurs et lorsque les premiers coups de bélier raisonnèrent à travers le fort de bois ils se mirent en action. Les soldats chargés de garder les herses fermées furent sauvagement tués et jeter par dessus le pont. Le feu se propageant aux fortifications Ouest de la forteresse menaçant les consolidations des étages supérieurs qui laissait apparaître une fumée opaque et noire à travers les meurtrières et les machicoulis. Les conspirateurs aux ordres de Quetzal tiendraient les passages jusqu'à la tour d'eau ouvert au péril de leur vie. La soldatesque Frey avaient les yeux rivés sur l'extérieur des murs occultant le venin se propageant de l'intérieur même de leurs propre forteresse.


Réussite Les premiers tirs touchent le fort en bois Ouest. Le feu se propage rapidement aux étages supérieurs du fort sans que les défenseurs ne puissent atténuer la propagation des flammes. 

Échec La piétaille riveraine envoyée par Bracken subie les salves répétés des archers Frey. La première ligne est repoussée. Le Bélier arrive sur place renforcée par la deuxième ligne qui est succédée à son tour pour consolidée les positions fragiles contestées.    

Echec-critique La stratégie défensive de lord Frey est malmenée par une poche dissidente d'espions et de bandits sous les ordres du groupuscule Quetzal. L'infiltration de ses forces ennemies permet de porter un coup sévère aux défenses des Jumeaux. Les herses fermant le passage du pont jusqu'à la tour centrale du fief. Les bandits gardent les passages ouverts et la garde protégeant les différents accès est mise hors d'état de nuire. 

Les flammes corroborent l'effort de l'envahisseur. les forces infiltrées sèment la panique dans les rangs adverses. De nombreux frey sont égorgés et poignardés dans le dos, leurs gorges se vidant de rivières immaculées de rouge vif. La tour est innascible, la Verfurque se tapissent de corps passé par dessus les remparts. Des éclats de projectiles s'enfoncent dans les profondeurs du fleuve. Lord Bracken redouble d'effort, son entêtement enfonce la porte, la tête de bélier voyant les membres des gardes bloquant l'accès de l'autre côté. Les tirs d'arbalétriers se poursuivent et les corps s'accumulent en travers du chemin.

Lord Frey n'était pas connu pour être un seigneur de tempérance. Il se barricada dans la salle principale de l'aile Ouest entendant bien répliqué coup pour coup. La contre offensive serait sanglante. Les forces défensives bien établies firent volte face quand la piétaille et l'infanterie se mirent à forcer le passage dans le sens opposé. Les portes s'entrouvrent exposant le peu de défense encore solide exploitable aux yeux dévorants de conquête de leurs ennemis. Dans la cour les quelques hommes chargés d'éteindre l'incendie n'arrivent pas à atténuer l'épaisse fumée noire qui rend impraticable corridors et escaliers. La brèche est ouverte, des centaines de riverains s'entretuent au devant des murs des Jumeaux. Alestor Reyne s'engouffre dans cette faille, il ne veut pas laisser passer une telle occasion.


Échec Les tirs de trébuchets n'atteignent pas leurs cibles, la charge d'Alestor Reyne est amorcée mais, contre toute attente les portes du fort s'ouvrent et une marée riveraine ennemi s'élance dans la bataille. Les Forces Reyne sont en difficultés. 

Réussite Le bélier fait céder la porte Est. Les riverains s'entretuent peinant à distinguer l'ennemi de l'allié.    

Echec-critique Lord Frey perd le contrôle de ses deux forts. Des forces ennemis se confrontent à l'armée Frey et bientôt se retrouvent déborder des deux côtés des Jumeaux. Dans Les couloirs les infiltrés poursuivent le massacre et empêchent coûte que coûte l'approche de la tour. Le feu continu de se répandre et atteindra rapidement la salle dans laquelle le seigneur Frey c'est barricadée.