Le Fléau de Valyria a tout détruit sur son passage. Pourtant au delà du Détroit les sept royaumes de Westeros sont toujours bel et bien présent.
 
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Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria]

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Tyldr Salfalaise

Tyldr Salfalaise

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MessageSujet: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptyMer 26 Aoû - 12:14

Au milieu des roses, on en prend le parfum
AN -112, MOIS 02, SEMAINE 1
Le ciel arborant sa parure étoilée s'offrait à moi. Mon corps allongé de tout son long semblait ne faire qu'un au contact de l'herbe humide au mélange d'humus et des végétaux avoisinants. Je ne me rappelais pas où et comment j'avais réussis à me retrouver ici. La cimes des arbres et leurs feuillages bruissaient avec légèreté offrant un rare moment de calme et de sérénité.  L'atmosphère fraîche et enivrante me semblait aussi familière qu'elle en était étrange. Mes yeux rivés sur la noirceur du baldaquin du monde je songeais au temps passé. La vie avait été généreuse, les exploits, le prestige et bientôt la gloire ? J'en doutais pour la toute première fois. Un craquement  brusque m'interpella soudainement. Ma tête se tourna dans la direction du bruit qui ne cessait de croître à une allure constante. Je plissais mes yeux apercevant une masse sombre se rapproché de plus en plus de la position où je me trouvais. Instinctivement mon corps se redressait et ma main droite cherchait l'épée dans son fourreau apposée à mes côtés. Rien. Comment ça rien ? Fronçant mes sourcils ma main n'avais rien agripper d'autre qu'une poignée terreuse parsemée d'herbe. Je me relevais faisant face à un individu encapuchonné qui s'était subitement stoppé face à moi. Je le dévisageais cherchant à découvrir qui il était sans comprendre ce qu'il se tramait tout autour de moi.

L'individu releva alors son capuchon dévoilant à mes yeux incrédule le visage de mon père. Je sentais mes jambes se dérober et manquais de peu de tomber. J'étais figé face au visage de cet homme qui me regardais sans dire mot. Mes mains devinrent moites, je ressentais un frisson parcourir le long de mon dos me faisant presque tressaillir. Les pulsations de mon cœur retentissaient et battaient à en rompre ma cage thoracique. Cela ne pouvait pas être possible. Non il n'y avait rien de rationnel dans tout ça mais, le simple fait de revoir mon père me rendait triste et empreint d'une certaine joie à la fois. Je n'osais m'approcher d'avantage tendant une main vers celui-ci pour pouvoir ne serait-ce que le toucher pour savoir si il était bien réel.

« As tu peur d'être dans tes actes et ta bravoure le même que dans ton désir ? » Déclara-t-il de son timbre de voix solennel qu'il avait l'habitude d'arborer avec moi.

Je ne craignais pas mon père. Bien au contraire j'étais fier d'être son fils mais, à cet instant le voir face à moi me rendait nerveux et en proie à la nostalgie liée à la perte de l'homme qui m'avait élevé et fais ce que je suis aujourd'hui. Je me ravisais au dernier instant relâchant ma main le long de mon corps avant de lui répondre.

« Père... »

« Tu es un Salfalaise. Comporte toi comme tel ! »

« J'aurais souhaité... J'aurais voulu... Être arrivé à temps. »

« Où étais-tu quand j'avais le plus besoin de toi Tyldr ? Où étais-tu ?! »

Je me réveillais subitement en nage, la sueur ruisselant le long de mon front. Le dos complètement trempé et le souffle haletant . La sensation malsaine de ce rêve se dissipait peu à peu alors que je reprenais mon souffle et mes esprits. Je relevais lentement mon corps m'asseyant sur le bord de ma couche apercevant sans grand intérêt apparent un jeune garçon d'une douzaine d'années qui semblait attendre quelque chose ou quelqu'un. Son attitude semblait anxieuse quand il remarqua que j'étais réveillé même si je tardais à émergé. Je lui fis un rapide signe de l'index et du majeur accolés l'un à l'autre pour lui demander de quoi m'hydrater le gosier.

« Tu veux cette pièce d'or ? » Déclarais-je mollement laissant mes yeux céruléens gambergés de la pièce de monnaie à son visage que je coinçais entre mes doigts. Sa réponse se fit attendre et il semblait peine à croire ce que j'étais entrain de lui dire.

« Reste pas planté là et apporte moi du vin ! » Déclarais-je lâchant la pièce en l'air avec nonchalance. Il s’exécuta en balbutiant attrapant la pièce au vol et ramena un verre de vin que j'attrapais tout en me massant lentement la nuque avec vigueur pour détendre les quelques vertèbres me faisant souffrir en silence. Je vidais le contenu du verre avec une avidité sans précédent. Retombant la tête la première sur l'amas moelleux qui formait mon lit je laissais l'alcool faire son bout de chemin le long de ma gorge sans dire mot. Une grimace se forma sur mon visage au contact de mon palet oubliant qu'il était peut être un peu tôt pour commencer la journée avec du vin. Celui-ci avait un parfum d'épices et de miel que j'essuyais de mes lèvres du revers d'une main.  Le regard fatigué je me sentais d'humeur morose en cette heure matinale. Je décidais finalement d'oublier et de laisser toute cette mascarade de côté faisant craquer les vertèbres de mon cou entament quelques arcs de cercle avant de lâcher un râle profond de ma gorge face à la journée qui s’apprêtait à commencer.

 
 
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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptyJeu 8 Avr - 17:02



Au milieu des roses, on en prend le parfum!

An -112, mois 2, semaine 1

◊ ◊ ◊

La migraine qui me tenaillait les tempes et me faisait plisser les yeux. La rudesse du réveil me rappela la soirée. Je fronce mes sourcils. Je ne me souviens pas avoir bu tant... Pas suffisamment pour en ressentir une telle gueule de bois. La brume qui s'épaissit et envahit mon esprit me laisse croire qu'il s'est produit des choses hors de mon contrôle. Trinquer. Danser. Se rapprocher. Je me redresse dans mon lit, assise ! Tyldr Salfalaise. Qu'avait-il osé faire ? Agacée ? Oui, profondément. Il n'avait pas conscience de ce qui allait lui tomber dessus en cette matinée. Moi. Aleria Gardener.
Je fais venir une de mes servantes, j'ai besoin d'eau. Un grand verre. Et de me préparer. Ma tête tourne et me lance. Quelle mal atroce ! Je grimace. M'extirpe de la pièce pour aller dans l'autre, ma salle d'eau. L'endroit où je vais pouvoir me rafraîchir. Le liquide pure et frais me donne l'impression de revivre quand il entre en contact avec la peau de mon visage. Me pouponner. M'habiller. Oui, une robe plus simple, moins cérémoniale que la veille. Jolie. Fluide. Une couleur pastelle allant à mon teint et s'harmonisant à ma chevelure. Vert d'eau. Je me coiffe. Une dernière épingle dans mes cheveux et le tour est joué.

Je m'assied à mon petit bureau pour rédiger un billet à l'intention de Tyldr Salfalaise. Ma plume gratte le papier d'une manière un peu brutale, faisant crisser la pointe de cette dernière. Le son n'est pas agréable, mais j'ai bien l'intention de mettre les choses au clair avec lui.

« Tyldr Salfalaise,

Par la présente, je vous convie à me rejoindre sur la terrasse au niveau des jardins pour un petit déjeuner en mon unique présence. Je vous y attends déjà, hâtez vous !

Princesse, Aleria Gardener. »


Voilà qui devrait être suffisant pour le faire venir à moi. Je confie cette missive à l'une de mes servantes après l'avoir cacheté. Je lui fais signe de disposer et de remettre la dite lettre en main propre à ce goujat mal élevé. Séduisant. Mais rustre ! Je me lève, défroisse ma robe et emprunte les couloirs jusqu'au petit balcon terrasse offrant une vue imprenable sur nos jardins et y donnant l'accès par des escaliers. Au cas où l'envie d'une balade se ferait. Je me laisse installer par les serviteurs. Prenant une tisane pour commencer, me désaltérer encore. J'ai la bouche âpre et si sèche. Est ce le vin qui me déshydrate tant ? Ou ce qu'il a mit dans sa fiole était un véritable piège dans lequel il nous a enfermé l'un et l'autre ! Mon expression est sévère. L'attente me paraît devenir une éternité. Mes doigts tapotent la table en saccade, imitant le galop d'un cheval. Mon regard se perd sur les jardins tandis que la beauté des fleurs allège mon cœur.

-Dîtes moi, pensez-vous que notre invité se montrera ? Rapidement... je n'aime pas attendre et encore moins attendre pour rien.

Je m'adresse à une de mes fidèles suivantes. Sans prendre la peine de la regarder. Je ne me sens pas d'humeur à être chaleureuse aujourd'hui, peut-être à cause de l'entreprise de ce maudit fer-nés. J'espère qu'il détient une excellente explication concernant mon état vaseux de ce matin. Je porte ma tasse à mes lèvres et m'en délecte d'une longue gorgée. J'observe la table. Que mange un sauvage le matin ? De la viande ? Il n'y en a point.

-Faîtes préparer un plateau de charcuterie et de viande, je doute qu'un homme comme lui se délecte de petits pains et autres sucreries. Peut-être des œufs aussi ! J'espère que l'odeur l'attirera jusqu'ici un peu plus vite que tout le temps qu'il prend ! Dort-il encore ? Une réponse je vous pris.

Je soupire. Exaspérée. Je me lève furibonde :

-Puisque c'est ainsi, je vais moi même aller le chercher !

Je remonte les couloirs. La profondeur de mon regard se fait menaçant et c'est à grand pas que j'arrive vers la chambre qui lui a été assigné. Frapper ? J'ai oublié. Je pousse la porte et la claque derrière moi aux nez des curieux qui me suivent. Ce qu'il fait je m'en fiche ! Je crois que je ne le regarde pas vraiment et que je suis noyée dans ma colère.

-Comptiez-vous répondre à mon invitation et répondre de vos actes ? Est-ce trop vous demander d'avoir un peu de manières ?

Je me retrouve plantée au milieu de la chambre d'un fer-nés sans avoir songé aux rumeurs que ce petit moment en tête à tête pourrait provoquer. L'homme me rend furieuse, pourtant son air un peu provocateur et sournois me plaît beaucoup. M'intrigue... Je lui trouve un charme bien étrange... Suis-je encore sous les effets d'un enchantement ?

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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptyDim 18 Avr - 23:52

Au milieu des roses, on en prend le parfum
AN -112, MOIS 02, SEMAINE 1
J'ai été convié à rejoindre la princesse Gardener. Je n'étais pas d'humeur et pourtant c'était sans doute une invitation dont personne pas même moi pouvait décliner. Le bout de papier restitué je le laissais retombé au bord du lit. Étirer mes muscles et faire quelques pas à travers le dédale de ce palais me ferait peut-être du bien ? Le regard céruléen observait les alentours d'Hautjardin, la pièce qui m'avait servit de chambre pour cette nuit dévoilait de vastes étendues d'herbes et au loin une grande forêt. Je suis resté un moment à contempler ce paysage, ses reliefs. Tout ceci n'avait rien à voir avec les Îles de Fer. Salfalaise, cette île stérile ou quelques troupeaux de moutons ici et là rognaient le peu de verdure qui subsistait.

Les pas raisonnaient à travers cet immense couloir. Tiré du lit par le tintement régulier et même plutôt rapide ? Au fur et à mesure qu'ils se rapprochaient les souvenirs de cette soirée me revenait à l'esprit. Je massais machinalement d'une main rugueuse ma mâchoire. Ma joue droite me rappelait significativement lady Gardener. Le rustre que j'étais avait apprit à ses dépends que la danse n'était pas faites pour les hommes de mon genre. Tout ici me le rappelait dans la forme, les actes, la posture, les gens. Au fond c'était sans doute une question d'habitude. Un apprentissage que pouvait se permettre la noblesse dans des prérogatives plus superficielles. Quoiqu'il en soit j'étais curieux de savoir ce qui faisait autant de bruit et qui indéniablement se rapprochait de moi.

La porte claque, à peine le temps de comprendre ce qu'il se passe. Derrière mon dos la silhouette d'une jeune femme apparaît. On la reconnaîtrait entre mille, j'avais cette qualité de retenir certains visages. Le sien comment aurais-je pu l'oublier. Cependant il était tout aussi furieux qu'incongru de la voir aussi rapidement venir jusqu'à moi. À croire que je lui manquais ? Ou peut-être pas tant que ça...

« Répondre de mes actes ? » Questionnais-je perplexe. En vais-je oublié le temps qui passait face à cette invitation à  contempler ces terres ? Peut-être bien je n'en étais pas à mon premier coup d'essai. Tête en l'air que j'étais, incorrigible voilà que sa patience semblait éprouvée par mon manque d'intérêt pour sa personne ? Elle se sentait sans doute obligée de paraître si revêche, une simple manie de princesse ?

« Je comptais arriver, je me suis perdu entre temps... » Je n'osais pas parler de la bouteille de vin qui était attablée ni même du verre vidé à ses côtés. « Je me suis pris à contempler par la fenêtre. » D'un geste usuel ma phalange indiquait l'extérieur avant de se raviser et de me sentir plus simplet que je ne l'étais.

« Mes manières ne sont sans doute pas celle auxquelles vous songiez princesse. » J'avouais que je n'étais guère habitué à la ponctualité. Pas celle d'un entretien pour petit-déjeuner. Néanmoins j'essayais d'apaiser les griefs dont elle m'accusait.


 
 
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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptySam 24 Avr - 18:07



Au milieu des roses, on en prend le parfum!

An -112, mois 2, semaine 1

◊ ◊ ◊

Que fait-il ? Il regarde à la fenêtre. Vraiment ? Il ne prend pas la peine de se retourner, même quand je fais claquer la porte ! Un rustre. Agacée. Peut-être furieuse ! Je fond sur lui pour lui secouer le peu de neurone qui l'habite encore. Il adopte une attitude perplexe en reprenant une partie de ma question sans y répondre. L'air un peu ailleurs. Son regard bleu semble distrait et un peu trop dilaté pour cette heure de la journée. Je l'écoute se justifier. L'homme s'est perdu voyez-vous. Oui, en restant dans sa chambre. Croit-il que je suis dupe ? A cette proximité, je sens bien que son haleine empeste le vin. Un seul regard m'a suffit à trouver la coupable vide sur une table.

Il me montre l'étendue de nos terres, ce qui semble l'avoir retenu... J'appuie mes bras contre ma poitrine. Croisés. Décidée à lui tenir tête dans l'intimité de ces murs. Nous étions seuls. L'un face à l'autre. Moi, cherchant désespérément par où commencer. Je soupire longuement dans l'espoir de retrouver un peu de paix intérieur, avant de me lancer :

-Vos manières sont celles d'un sauvage ! Vous voulez me faire croire vous être perdu aussi longtemps à contempler le paysage. Au delà, de votre manque de discernement vous sous-estimez le mien. Vous pensiez me duper ? Vos pupilles dilatés. Votre haleine trahissant la vinasse que vous avez bu...

Je plante mon index sur son torse et le toise avec colère :

-Qu'avons nous bu hier ? Qu'est ce qu'il y avait dans ce breuvage que j'ai acceptée de partager avec vous ? Une folie passagère que je ne vais pas réitérer, croyez moi !

Je relâche la pression sur son torse. Musclé. Il faut le dire. S'en ai presque énervant de le trouver attirant, tellement sa stupidité me répugne.

-Sachez que ni vous, ni moi ne sortirons de cette chambre tant que je n'aurais pas obtenu des réponses. Et si il venait à votre esprit de vouloir me jouer un tour, n'oublier pas que vous êtes entre mes murs !

Que sait-il de moi ? Rien. Personne ne sait quoi que se soit. Tout le monde me voit comme la pauvre et frêle Princesse du Bief à qui il faut un mari. Je sais me défendre. Je sais me battre. Il est bien dommage que j'en ai que trop rarement l'occasion. Je laisse mon regard vagabonder par la fenêtre, par ce que une partie de moi ne le crains pas. Cette infime partie qui m'a fait boire avec lui. Celle qui m'oblige à le provoquer. Une forme de curiosité. Un jeu. Peu importe, je tente le hasard et je joue avec le destin vu qu’apparemment les cartes sont déjà tirés.

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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptySam 8 Mai - 2:42

Au milieu des roses, on en prend le parfum
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Les propos de la princesse sont dures. Je ne pouvais que feinter d'un revers souriant et dédaigneux sur ce qu'elle pointait du doigt. L'alcool était l'un des nombreux vices qu'un homme pouvait avoir. Un fer-né avait de la noirceur en lui c'était inévitable. Je m'en amusais, il fallait admettre ce que je suis et je ne le niait pas. En revanche l'orgueil lui persistait, grondant de manière sourde en mon fort intérieur. Je disais la vérité sur l'étendue que j'avais contemplé, mes yeux eux ne trahissaient aucune gêne, aucune honte sur ce sujet. Vint alors le questionnement qui la taraude, celle de cette étrange scène à laquelle tout le monde avait assistée. De cette fiole, que mon esprit encore embrumé marquait comme une erreur grotesque. Impossible de savoir si ce qui était dans celle-ci était réellement fondée. Après tout, cela ressemblait bien plus à l'enivrement des festivités bien arrosées.

« Un alcool qui de toute évidence était bien trop fort pour vous. » Lui lançais-je sur le timbre d'un humour grivois. Elle n'avait pas toute sa tête de toute évidence en avait-elle oubliée que j'avais moi même bu le contenue dans ma propre choppe ? Mieux valait dire ce que ses oreilles daignaient à peine entendre. Passé pour un rustre et grossier fer-né était là la seule chose qu'elle pouvait plus ou moins retenir à ce sujet.

« Vos murs ? Je pensais que ce château appartenait au roi ? » Relançais-je en lorgnant d'un peu trop près sur le bustier qui maintenait sa poitrine. Je me déplaçais sans difficulté dans la pièce en observant quelques minutes de silence jusqu'à la porte pour en revenir à sa première sollicitation.

« Votre curiosité est-elle satisfaite ? Pouvons nous y aller ? Je commence à avoir faim » Questionnais-je dans un désintérêt total pour ce qu'elle cherchait. Une faille, un détail imprimer sur mes lèvres ? Qui dévoilerait un accès de fièvre ? Rien de tout cela ne serait facile à déchiffrer chez un individu telle que moi. Que savait-elle d'ailleurs sur nous autres ? Rien.
 
 
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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptyJeu 10 Mar - 16:44



Au milieu des roses, on en prend le parfum!

An -112, mois 2, semaine 1

◊ ◊ ◊

Il ose. De toute évidence le courage ou peut-être bien la stupidité, ne manque pas à nos invités fers-nés. Il se moque de moi, me provoquant en invoquant un alcool bien trop puissant pour moi. Son humour m'agace et me contenir me semble plus compliqué que je ne l'aurais imaginé. Je dois revoir ma défense, pour arguer un égarement sous l'effet enivrant d'un alcool bien trop puissant. Soit, il a lui même bu à cette bouteille... Un poison aurait du le contaminé à moins qu'il ai fait semblant de boire, prit un antidote avant. Je plisse les yeux à son encore, qu'il ne pense pas que je le crois. Méfiante, je continue mais il est aussi borné que mal élevé. Tatillon. Jouant sur les mots.

-Ne faîtes pas l'ignorant, je demeure l'unique héritière du Roi. Ce sont un peu mes murs.

Je suis son regards en direction de mon bustier, de ma poitrine. Au moins, il n'a pas si mauvais goût pour un rustre. Je peux le lui accorder. Prenant ses aises, il parcoure la chambre jusqu'à la porte avant de venir réclamer son petit déjeuner. Si l'arrogance est de mise, je sais y jouer :

-Qu'attendez vous pour ouvrir la porte ?

Comprenez par là que je n'allais pas le faire, moi la Princesse à qui l'on sert tout sur un plateau d'argent comme l'aime à croire les insulaires. Quant à ma curiosité, elle ne l'ai point, mais une invitation est une invitation. Je soupire. Je m'avance. J'indique le chemin vers la le balcon terrasse qui donne sur le jardin et où la table nous attend. Froide. Je l'invite à s'asseoir.

-Installez-vous, j'ai fait préparer plusieurs choses étant donné que je ne connais pas vos goûts. Si vous avez un besoin particulier, faites le savoir afin que nous puissions vous l’amener ou y remédier si nous n'en avons pas.

Je prends place après lui. Me servant une tisane infusée aux fleurs de notre jardin, une eau délicieuse et désaltérante qui j'espère m'aidera à surmonter ma gueule de bois. Je n'ai pas envie de converser, il est imbuvable et trop sur la défensive pour mener une conversation qui soit plaisante. Néanmoins, me murer dans le silence n'aidera en rien à ouvrir les verrous de cet homme.

-Puis-je vous faire découvrir la tisane ? Ou, peut-être ce gâteau qui est une spécialité ? Avez-vous des habitudes gastronomique sur vos terres ?

Je me pince les lèvres et meurs d'envie de ravaler ma question. Je le vois déjà me rabâcher que les îles de fer sont pauvre, difficile à fertiliser et que les denrées sont rares. Je ne le sais que trop bien, mais si la moindre question sollicite de se prendre un coup de coude, autant aller combattre dans ce cas. Je replace une mèche de mes cheveux, porte ma tasse à mes lèvres et m'en délecte tout en perdant mon regard sur nos jardins. L'air frais me fait du bien et m'aide à me remettre de cette soirée, mon ventre encore embarbouillé n'est pas attiré par la nourriture et je ne grignote rien. Préférant attendre et regarder mon inviter se régaler de toutes les victuailles encore une fois.

-Dites moi, Tyldr, avez-vous au moins apprécié votre soirée et notre proximité ?

Mon expression demeure sérieuse, je me demande simplement ce qu'il peut bien penser de tout ceci. Un petit rire fend mes lèvres à la simple pensée qu'il puisse me rétorquer, ne tout simplement pas s'en souvenir. C'est si simple pour esquiver les confrontations que de jouer le simple qui à oublié toute sa soirée sous les effets de l'alcool. Osera-t-il jouer sur ce terrain, ou au contraire prendra-t-il le risque de m'offrir une véritable réponse ? Non, il est trop malin et bien trop sur de lui pour se laisser berner. Quoi que ma question n'est pas faite pour le rouler, le verra-t-il ? Se méfiera-t-il encore de moi ? C'est ce qu'il semble faire à chaque fois que je cherche à ouvrir une discussion.

-Sinon, j'ai une question bien plus simple peut-être, une dont la réponse est si évidente que mentir ne servirait à rien. Mon décolleté est à votre goût ?

Joueuse. Arrogante. Je sais très bien y faire aussi. Je ne suis pas et ne serai jamais la bonne petite princesse entrant dans les cases. Je tourne un peu mon visage vers lui pour le détailler, lui ses cicatrices, son visage marqué et sa beauté brute. L'homme est plaisant, je laisse mon regard divaguer et glisser sur sa silhouette sans être gênée par le fait qu'il puisse le constater. Après, tout lui non plus ne se gêne pas !

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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptySam 23 Avr - 15:44

Au milieu des roses, on en prend le parfum
AN -112, MOIS 02, SEMAINE 1
Je feintais le soupçon de curiosité que je dissimulais à peine  à son encontre. Sa compagnie était plaisante tout autant que la veille au banquet. Bien qu'elle ne me laissait pas indifférent je me gardais bien de dire ce que je pouvais croire ou penser sur elle. De la trempe de ce genre de femme je n'en connaissais que peu, quelques unes plus imprégnée du sang d'animaux sécher sur leurs ongles et aux dents capables de déchiqueter l'oreille de leurs adversaires. M'asseoir dans ce genre de cadre était comparable à l’irréalité ou une forme d'irrationnel qui n'était sans doute dû qu'à des champignons hallucinogènes. Les continentaux étaient en toutes choses plus perfectibles, avec un goût prononcé pour la paix. Cette chose que je ne trouvais sans doute qu'utile pour des hommes et des femmes qui vivaient dans les caractéristiques d'une vie prospère. Nous n'étions pas vide de ça, je l'étais encore moins. Perdre ce qui faisait de nous ce que nous étions était une forme de déclin. Pourtant j'oscillais entre le rire et la complaisance de son être, jaugeant ce qu'elle me déclarait comme pour être sûr de ne pas faire un pas trop brusque ou de travers. J'avais déjà suffisamment fait pour lui mener sans doute une pensée assassine alors que mon but ici était d'obtenir un arrangement avec le roi son père.

« Pas vraiment... »

Déclarais-je en tapotant ma tempe et me mettre à consommer la nourriture désignée. Mon goût en matière de nourriture restait simple, mon faciès se trouvait parfois surpris face à ce que j'engouffrais dans mon gosier. Je pris à boire mais, c'était une saveur étrange que de boire de l'eau chaude avec des saveurs qui me semblaient plus issue de plantes dont j'étais complètement ignorant.

« Jusqu’à un certain point je dirais princesse. »

Laissais-je entendre en évitant son regard. À quel point ? Pas sûr que je sois de ces hommes qui aiment se faire frapper à chaque fois que je faisais un pas de travers. Alors que je me reprenais une gorgée de cette eau au mélange d'herbes sans doute aux vertus thérapeutique bien que je ne sois pas sur de souffrir d'un quelconque mal. Je m'étranglais dans un rictus manquant de cracher ce que je buvais sur le sol aux paroles de celle-ci.

« Est-ce interdit de regarder une jolie femme par chez vous ? » Concluais-je en reprenant un peu de couleur aux joues et passablement pouvoir respirer après ce coup rabattu en brèche.

 
 
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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptyMer 27 Avr - 15:34



Au milieu des roses, on en prend le parfum!

An -112, mois 2, semaine 1

◊ ◊ ◊

Mon regard se perd entre le jardin et sa silhouette, lui et ses expressions à la découverte de certains mets. Je dois retenir mes rires à plusieurs reprise en me pinçant les lèvres. Ils n'ont pas d'habitudes gastronomique, j'en suis presque déçue et je le montre brièvement d'une petite moue mutine. La bête face à moi semble un peu plus encline à marcher sur des œufs et faire preuve d'un peu plus de politesse plutôt que de brutalité. Un changement que je sais apprécier, je le lui concède en buvant une longue gorgée de ma tisane.

-Je trouve cela fort dommage que vous n'ayez pas un plat ou quelque chose à me faire découvrir de votre culture, j'aurais apprécié en connaître d'avantage.

Quand à la soirée, l'homme m'apprend qu'il ne l'a apprécie que jusqu'à un certain point. Je fronce le regard quelques secondes, me questionnant sur le pourquoi de cette réponse en demi-teinte. Le souvenirs de mes mains claquant ses joues me reviennent, alors qu'il évite soigneusement mon regard. Il est vrai que je n'y était pas allée de main morte, mais c'est un très mauvais danseur... mes orteils s'en souviendront longtemps !

-Je comprends, vous ne devez pas vous faire frapper par une femme très souvent. Accepteriez-vous réparation pour votre joue ?

Je le vois déjà se torturer l'esprit pour tenter de comprendre ce que je sous-entend par là. L'idée m'arrache un sourire malicieux, qui ne sera peut-être pas très rassurant pour mon invité. Joueuse. Je continue sur les mêmes notes que la veille. Quand à la suite de notre conversation, je lui arrache au moins une réaction. Lui qui manque de s'étouffer avec sa boisson chaude en l'avant de travers, je l'imagine la recracher par le nez assez fière d'obtenir un rictus qui manque de lui faire tout recracher. Je relève mes épaules dans un haussement clair en l'écoutant me répondre, puis je secoue mon visage de façon négative avec délicatesse.

-Non, il n'est point d'interdiction de ce genre. Et, je suis ravie d'entendre de votre bouche que je suis une jolie femme. J'accepte le compliment.

Bien, qu'il ne l'ai pas réellement donné, mais simplement suggéré. Je continue de jouer sur les mots pour le taquiner quelques peu. Son teint reprenant des couleurs, je mords dans une part de gâteau en lui jetant quelques regards. Je profite d'un peu de silence pour me régaler de cette part de gâteau, si délicieuse que je lui tend d'un geste franc. Articulant en terminant ma bouchée :

-Vous voulez goûter ? Allez-y croquez un bout !

Je manque un peu de grâce, mais pouvoir être un peu plus naturelle et sauvage que d'ordinaire me convient parfaitement. J'attends. Le bras tendu. La part sous son nez, mon regard insistant pour qu'il en prenne un morceau, alors qu'il doit se dire que je ne la finirais pas si il croque dedans. Au moins, elle n'est pas empoisonnée vu que je la dévore. Je le jauge et poursuis :

-Dîtes, aimeriez vous faire une ou des activités particulières aujourd'hui ? Père, m'a demandé de vous accompagner et d'être votre guide pour la journée. Si, vous avez des désirs c'est le moment de les combler néanmoins ma virginité n'en fait pas partie !

Un grand sourire orne mes lèvres rosées alors que je continue de me moquer gentiment de lui en tentant de le déstabiliser. Comme tous les hommes, il me trouvera insupportable et oubliera même l'envie illusoire de m'avoir dans sa couche. Quoi... que l'homme à sûrement mieux à se mettre sous la dent qu'une noble impétueuse, froide et inexpérimenté. Je n'en ai pas le moindre doute, certes jolie à ses yeux vu comment il me dévore, mais loin d'être un homme souhaitant se marier je ne fais pas une cible de choix. Je suis persuadée qu'il préfère les guerrières de son espèce et les catins. Enfin, c'est l'idée que je m'en fais !

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Tyldr Salfalaise

Tyldr Salfalaise

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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptyVen 22 Juil - 17:12

Au milieu des roses, on en prend le parfum
AN -112, MOIS 02, SEMAINE 1
La curiosité l'emportait dans ce palais. Voir la déception à mes propos sur nos habitudes en matière de repas me faisait prendre conscience à quel point nous n'étions en rien similaires dans notre vision et notre culture. Pour autant l'initiative dont nous avions fais preuve auprès des biefois promettait une avancée significative.

« Si l'odeur du poisson et du sel ne vous achève pas princesse pourquoi pas. Peut-être que l'occasion se présentera qui sait ? »

Je voulais rattraper la déception pourtant je craignais d'avoir fait empirée plus son avis à ce sujet. Quand ses propos revenaient sur les événements d'hier je ne saisissais pas concrètement ce qu'elle insinuait dans cette démarche.

« Cela faisait parti du jeu et j'ai perdu. Un nombre incalculable de fois... Danser n'est pas ce que je sais faire de mieux. »

Déclarais-je sans réelle prétention à dire ou faire croire ce que j'étais capable de faire. Les continentaux avaient leurs mœurs et des habitudes qui se trouvaient diamétralement opposées aux nôtres. Goûter à ce qu'elle venait de manger ? Pourquoi pas ? Je n'étais plus à une découverte près. Je me penchais puis j'arrachais avec férocité un morceau de ce qui semblait être un étrange mélange entre du pain et quelque chose de plus sucré. Je me laissais retomber contre le dossier de mon siège en répliquant.

« Ce n'est pas mauvais. » Je parlais alors que je n'avais pas encore fini de déglutir tout ce qui restait encore dans ma bouche.

« Avoir le ventre plein m'évite de penser. » Et l'alcool donnait plus envie de pisser que de courir la gueuse mais je m'abstenais de lui dire le fond de ma pensée. « Si vous pouvez m'en apprendre un peu plus sur votre famille et cette forteresse je serai honoré de marcher à vos côtés. »
 
 
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MessageSujet: Re: Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria] EmptyLun 12 Déc - 15:01



Au milieu des roses, on en prend le parfum!

An -112, mois 2, semaine 1

◊ ◊ ◊

Le rustre ne me ménage pas, cela me change de mes habitudes et de mon délicieux cocon de soie. Toujours couvée. Toujours choyée. Quoi qu'il advienne ma vie était facilité par mon rang, j'en étais pleinement consciente. Cherche-t-il à m'effrayer ? J'en doute. Il me semble juste prompt à la vérité. J'incline respectueusement mon visage en offrant un sourire :

-Si l'occasion se présente je m'y risquerais pour découvrir si j'aime l'odeur du poisson et du sel !

Rieuse. Je concède à ses mots. Il est piètre danseur c'est un fait. Néanmoins, je n'ai pas passé une soirée aussi désastreuse que je l'aurais imaginée. Peut-être que la fièvre de la boisson à embrumé mon esprit plus que de raison, mais je ne refuserais pas une danse en sa compagnie une nouvelle fois, même si cela signifie la mort de mes orteils.

-En effet, mais je trouverais peut-être un moment pour vous apprendre les pas... un jour qui sait ?

Il goûta un morceau de gâteau en se penchant pour y croquer un morceau de manière bestiale. Je pince mes lèvres pour retenir mon rire, mon regard s'illuminant tout de même. Je reprends un morceau à sa suite avec bien plus d'élégance. Il ne trouve pas ça mauvais. C'est déjà un excellent début, il ne me l'a pas recraché dessus. La bouche pleine, il articule de manière très rustique une fois encore. Mais, je ne relève plus ces différences qui nous séparent, préférant simplement profiter du moment. Je termine ma tasse te thé en l'écoutant.

-Une ballade et de la conversation, ce sont des choses tout à fait dans mes cordes et vous n'aurez pas à penser, je vous le promets.

Je me redresse. Défroisse ma robe d'un geste de la main et propose mon bras à l'insulaire. Je patiente qu'il me rejoigne pour ensuite le guider, j'ai bien entendu une dame de Compagnie qui me chaperonne comme toujours, au cas où il me viendrait à l'esprit d'être fugace. Et au moins, je saurais mon père rassuré par cette présence prête à rapporter le moindre de mes faux pas.

-Je suis ravie de vous faire découvrir notre Château, il est sûrement l'un des plus beaux des Septs Couronnes,  mais je vous laisserez le déterminer suivant vos goûts. Il possède huit tours rectangulaires que vous découvrirez à mesure de notre balade. Les murailles sont ornées de pics et elles sont bordées par la forêt. Je crois que j'aime cette proximité avec la nature. Nous sommes situé sur une colline bordant la mander, un axe commercial très réputé dans le sud de Westeros.

Je suis ravie de le conduire sur une promenade extérieur et lui montrer l'architecture de notre château, de ses murailles, la verdure qui s'y lie avec tant d'amour et de beauté. Je lui montre chacune des tours. Lui indiquant de quel côté il a logé et celui dans lequel je réside. Souriante. Je lui laisse le loisir de m'interroger, de se montrer curieux s'il le souhaite en ne monopolisant pas la conversation. J’apprécie chaque silence me permettant d'entendre le chant des oiseaux.

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Au milieu des roses, on en prend le parfum [Pv Aleria]

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