La petite souris du désert [Quête temporaire : FB Naerys Martell]

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La petite souris du désert

Dans la pénombre d'une nuit agitée, le ciel arbore une parure ocre-violacée. Le soleil baignant de ses dernières lueurs à la teinte orangée le monde sous ses pieds. À la faveur de la lune qui doucement s'élève pour veillée à son tour sur le monde à ses pieds. Là une jeune femme au sang mêlé se tient fière mais incertaine. Intangible mais fragile dans ses pensées et ses gestes. Elle n'est encore qu'une jeune fille aux proportions féminines modestes. Les Montagnes Rouges s'élèvent de part et d'autres du fief de Touche au ciel et au loin sans s'y méprendre on peut à un moment certain entrevoir les collines vertes à la frontière du Bief. La nuit chaude berce ses rêves, elles lui susurrent à l'oreille une chanson et quelques ritournelles. Une caravane établie aux abords de la forteresse interpelle son regard brun éclairé par une torche et perçoit une scène de vie commune entre deux enfants. L'une fille les cheveux aussi sombre et voluptueux et l'autre plus court aux allures fraternel et envieux. Les éclats de leurs échanges, des rires surviennent dans l'écho lointain de sa position actuelle mais, une irrésistible envie de se promener l'interpelle.

De ses pieds nus elle s’attelle, elle se pare et s'apprête d'une longue et légère parure, un châle recouvrant ses épaules nues pour du bout de la herse observer les deux enfants se taquinant l'un et l'autre au détour d'un rocher et de l'âtre crépitant du feu qui éclaire la caravane et quelques dorniens et dorniennes honnêtes. Aventureuse elle s'avance et elle entrevoit la jeune fille courir détournant les yeux en arrière sans même faire attention que la jeune princesse se trouve juste devant elle. La sandale de la petite se crispe sur un caillou et elle manque de s'effondrer par terre. Sa frêle silhouette rentre en contact de celle de la princesse et c'est un silence d'une bouche muette que la fillette observe apeurée avec gêne la somptueuse femme qui se dresse devant elle. Sheala balbutie quelques mots entre ses fines lèvres mais, déjà son pied la lance et elle se recroqueville son visage baignant de larmes ses joues jusqu'à la pointe de son faciès. Je suis désolée, pardonnez moi je ne voul...pas...

La petite souris du désertNaerys Martell & MDJ,[Quand elle était chez les Poulet]La nuit s’annonçait douce, alors qu'une brise parcourut le désert de Dorne. A l'enceinte de la maison Poulet, se trouvait une jeune fille, Naerys. Cela ne faisait que quelques années qu'elle était chez eux, mais se sentait déjà chez elle. Soldats, servantes, et même certains du petit peuple la connaissaient à présent, la surnommant "petite princesse". A la fin de ses leçons avec le mestre de Touche au ciel, la dornienne était de retour à ses appartements, dont la vue donnait sur les environs de la forteresse. Se brossant les cheveux machinalement, la princesse semblait lentement s'avancer vers son balcon contemplant le ciel et le désert infini.

En baissant les yeux vers les murs de Touche au ciel, Naerys vit une lumière. Plissant les yeux, cette fois, elle vit des enfants, un garçon et une fille, rire et jouer. La princesse les observait quelques moments, un sourire apparaissant sur ses lèvres. La scène lui donnait des flash-back, d'elle et de son frère Dorian. Autrefois, ils étaient comme ces deux là, à s'amuser sans penser à ce qui les entourait. Inséparables, les deux frangins ne pouvaient pas être vus l'un sans l'autre, depuis la mort de leur mère. Naerys était curieuse et posa donc sa brosse sur la table disposée sur son balcon, ses yeux toujours pointés sur cette scène. Peut être qu'elle pourrait les rejoindre, se disait-elle, rentrant à nouveau dans ses chambres.

Attrapant d'un geste rapide un châle de la couleur du sang, Naerys le jeta sur ses épaules, l'enroulant par la suite à moitié. Elle fit un dernier regard à Nyméria, sa vipère noir, avant de quitter ses appartements. Elle ne l’emmènerai pas, celle-ci fera peur aux enfants. La dornienne vint donc à quitter la forteresse des Poulet, se retrouvant devant la herse de celle-ci. Ils étaient à quelques mètres d'elle, mais Naerys s'arrêta à nouveau, regardant le spectacle de plus près. Il y avait des adultes pas loin d'eux, probablement leurs parents ou des personnes qui les surveillaient. Mais la princesse continua sa route, faisant le moins de bruit possible.

Quelques secondes plus tard, Naerys se retrouva en extérieur. Regardant devant elle, la princesse respira un bon coup, posant ses yeux sur le ciel étoilé. Soudainement elle sentit comme un grand choc à sa gauche, comme si quelque chose chargeait vers elle. La princesse fut déstabilisée, mais garda son équilibre pour tourner agilement ses talons vers la source de cette action. C'était la fillette de tout à l'heure, qui semblait avoir rentré en elle sans le vouloir. En la voyant, celle-ci commençait à pleurer, ce qui avait surprit la princesse de Dorne. Essayant de la calmer, Naerys se mit alors à genoux, devant la filles aux cheveux noirs, pour venir passer délicatement ses fins doigts sur la joue de celle-ci, essayant d'assécher ses larmes. D'une voix confidente, Naerys vint à la rassurer.

« Chhht... Ne pleure pas, tu n'as pas fait exprès. Vient, relève toi. »

Prononça l'adolescente, se relevant elle même. Une main contre son torse pour garder son châle refermé, elle tendit l'autre à l'enfant pour l'aider à se relever, affichant un sourire franc à ses lèvres.:copyright:️ 2981 12289 0

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La petite souris du désert

Dans le sanglotement de sa voix elle essaya tant bien que mal de se contenir. Hoquetant dans un fredonnement peu à peu rassurée par la main de la jeune et magnifique femme elle s'apaisa. Percevoir le sourire de cette femme somptueuse redonnait un peu de vigueur à son visage dans l’insouciance la plus totale elle releva sa délicate et frêle main vers celle que lui tendait la princesse dornienne parée de son châle. Sheala observa sous toutes ces formes et coutures la ravissante et délicate femme oubliant progressivement son chagrin. Le jeune garçon lui observa le spectacle de loin. Il n'osa pas s'approcher préférant se saisir d'un bout de bois pour offrir un sourire assuré à sa camarade de jeu et s'effacer dans le regroupement des gens du voyage au sein de la caravane.

Alors qu'elle tenait la main de sa protectrice, la jeune fille plissa ses yeux amandes au regard brun vers le sol observant une étrange et téméraire petite créature. Il y avait une sorte de rongeur aussi rapide qu'agile qui se mouvait à travers la rocaille et la poussière du désert. Les rochers offraient une couverture idéale et un abri certains pour la petite souris du désert. La curiosité prit le pas sur l'enfant qui pointa de son index le petit animal et s'empressa de tirer par le bras la jeune femme pour qu'elle l'accompagne. Dans un sourire franc elle ria légèrement d'une larme encore perlant le long de son visage presque sèche déjà. Elles dévalèrent une petite bute mélange de terre aride et de poussière ambiante dans les cailloux jonchant le sol le petit animal se précipita jusqu'à la faille d'un roc bien plus imposant laissant avec peine assez de place pour y passer sa propre main. La jeune fille s'abaissa pour observer si le petit animal était encore là. Une excitation et une curiosité trop grandissante poussa Sheala d'aventurer sa main à travers la roche et y caresser le petit animal. En vain elle tend sa main pleine de terre et de petites caillasse balayée le pan des bas de ses habits. Peut-être que son avant-bras était trop court pour pouvoir tenter de se saisir de lui.

La petite souris du désertNaerys Martell & MDJ,[Quand elle était chez les Poulet]La princesse de Dorne n'a pas souvent eu l'occasion de passer du temps avec des enfants de l'âge de celle qui était devant elle. Etant la plus petite de sa famille, Naerys était plutôt celle qui se faisait rassurer par autrui, et non l'inverse. Son frère ne manquait jamais une occasion de lui redonner un sourire, tout comme sa sœur, Sélènia. Mais Naerys savait qu'elle devait se familiariser avec les enfants, puisqu'elle en aura un jour ou un autre. Déposant ses yeux sombres sur le jeune garçon, Naerys garda un sourire, comme si elle l'invitait à les rejoindre. Mais celui-ci retournait du côté de sa famille.

La princesse de Dorne reporta à nouveau son attention vers la petite fille. La créature qu'elle regardait était connue de Naerys, l'ayant vu à plusieurs reprises lorsqu'elle avait voyagé de Lancéhilion jusqu'ici. Le désert de Dorne abritait une faune assez variée: gazelles, chacals et lézards. Mais le désert abritait aussi des créatures beaucoup plus dangereuses et moins gracieuses, tel les serpents ou encore les scorpions. La petite fille était intéressée par le petit rongeur, et invita Naerys à aller le chercher.

Lançant un dernier regard à la forteresse, Naerys se dit qu'on ne remarquera pas son absence. De plus, cela faisait des semaines qu'elle n'avait pas filé en douce pendant la nuit, pour chevaucher à son habitude dans les environs. Un sourire sur le visage, la princesse suivit donc la fille aux cheveux de la nuit, main dans la main. D'une voix douce, elle vint alors à lui demander.

« Dis moi, ma belle comment tu t'appelles ? »

Arrivant finalement devant un roc imposant, la gerbille pénétra dans une faille qui était beaucoup trop étroite pour que l'on puisse le suivre. La fillette tentait d'y rentrer sa main, mais ne put pas l'attraper, probablement parce son bras était trop petit. Retirant d'un geste rapide son châle pour le laisser tomber contre le sable froid, Naerys s'approcha de la fente, se mettant sur ses genoux. A son tour, la dornienne tendit son bras droit dans l'ouverture. Naturellement plus grand que celui de la petite fille, elle espérait ainsi réussir à toucher la créature.:copyright:️ 2981 12289 0

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La petite souris du désert

Grain après grain le souffle vivifiant du vent s'engouffre à travers les épais rochers ocre dans les hauteurs du fief de Touche au ciel. La fillette n'est pas au bout de ses peines ni d'une quelconque surprise car ici même autrefois naquit une déesse. Elle qui fut à l'origine de cette terre aux reliefs si vastes et majestueux, elle qui berça le monde des Hommes et de ce peuple a qui elle sacrifia tout jusqu'à enfouir son propre cœur en ces lieux. Sheala observe l’œil attentif son impatience trépigne et les battements de cils se stoppèrent en admirant la princesse et le plaisir qu'elle éprouva à se joindre à cette péripétie. « Sheala. Toi comment tu t'appelles ? » La réciproque de la question mène l'enfant à ne se soucier nullement des apparences. Elle contemple cette jeune et élégante femme à la beauté farouche comme la nature vorace et impitoyable du désert. Ses mains se plaque le long de sa tunique d'un cuir usagé pratique sur les routes du commerce de caravaniers. Ces yeux offrent alors toute la tendresse d'une insouciante jeunesse. Celle que l'on perd une fois adulte et qui dans le labeur et la persévérance nous amène à suspendre un temps notre parole pour laisser le silence et le temps se remémorer.

Sheala se saisit du long tissu riche dans sa constitution et dans le parfum qu'elle arbore dans une chaleureuse caresse. L'enivre de son petit museau qu'elle appose pour inhaler cette senteur suave et raffinée. Alors elle se rapproche d'un peu plus près de la princesse sans dire mot et attend. Le moment opportun l'avant bras glisse et pénètre à travers la crevasse pas plus grande qu'une main. Dans le prolongement de son bras elle gagne sans mal plus de terrain que sa compagne bien plus jeune et petite en taille. Un couinement se fait sentir et c'est l'émerveillement des yeux de Sheala aux abords de la roche qui s'illumine sur ses pupilles. La femme extirpe avec minutie le petit rongeur apeuré se camouflant tant bien que mal entre ses doigts. La poigne se veut ferme autour de sa taille, son petit ventre rebondi laisse apparaître la respiration rapide de la petite souris sans lui faire le moindre mal. « Il est magnifique et si petit ! » S’exclame la jeune gamine aux yeux pétillants se penchant sur la pointe de ses chausses pour contempler la petite boule de poils craintif.

La petite souris du désertNaerys Martell & MDJ,[Quand elle était chez les Poulet]A la question de l'enfant, Naerys posa quelques instants ses yeux sur Shaela, pensive. Tous le monde connaissait la princesse Naerys, et certains du petit peuple prendraient peut être peur s'ils venaient à apprendre qu'ils étaient avec une personne de sang noble. Naerys pouvait soit ne pas lui répondre, ce qui était assez rude, ou s'inventer un nouveau prénom. La princesse opta pour la seconde option, alors, d'une voix mélodieuse, elle répondit à la petite fille, conservant un sourire.

« Na... Naella. »

Lorsque son bras pénétra dans l'ouverture dans le rocher, Naerys senti le rongeur. L'attrapant rapidement mais délicatement, elle demeura ferme, pour éviter qu'il ne s'enfuisse. Naerys retira par la suite son bras de l'ouverture, ses lèvres étirées en un sourire franc. La princesse de Dorne tourna alors ses talons vers Shaela, puis se mit à sa taille, posant ses genoux sur le sable froid. La petite fille semblait émerveillée par la créature, et Naerys l'était aussi. C'était la première fois qu'elle en avait une dans ses mains, alors d'un doigt, elle vint à lui caresser la tête. Observant toujours le visage gai de l'enfant, Naerys lui tendit encore plus la main.

« Tu veux le prendre dans tes mains? »

Remarquant que son châle se retrouvait dans les mains de Shaela, Naerys garda le sourire; elle en avait des dizaines, un de moins ne se fera pas remarquer et ne sera pas manqué. Alors qu'une douzaine d'excuses lui venaient à la tête pour la raison pour laquelle Naella aura un châle d'un tissus aussi noble, la princesse proposa alors à l'enfant, parlant à propos du vêtement.

« Dis moi, il te plaît? Tu peux le garder, si tu veux. »:copyright:️ 2981 12289 0

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La petite souris du désert

L'enfant attentive sourit à la proposition. Shaela n'est pas farouche et se laisse facilement bercer par la parole et la splendeur de cette femme en qui elle aimerait sans doute entrevoir un futur proche si se n'est à l'identique. Ce n'est qu'un rêve elle le sait bien mais, un enfant est bercé par son imaginaire alors elle se berce d'illusions rendant son quotidien plus facile à vivre. Dans une intemporalité éphémère qui la désigne comme l'héroïne elle s'échappe comme cette petite souris et retrouve le cocon chaleureux et sécuritaire dans lequel elle aime se réfugier. Elle acquiesce et récupère le petit animal craintif entre ses mains. Précautionneusement la petit laisse entrevoir le rongeur et cette petite frimousse dans le creux de ses paumes. Son index caressant minutieusement le haut de son front observant avec tendresse une forme d'affection pour la souris. La question est un peu troublante mais elle ne fait pas peur. Si elle pouvait garder le morceau de tissu ? Oh elle en mourrait d'envie. Habilement enroulé sur le côté d'un avant bras elle n'osait cependant pas quémander un tissu aussi riche et soigné. « Il ne m'irait pas aussi bien qu'à toi. »
Marmonne dans une vérité regrettée Shaela. « Je ne suis pas faites pour ces choses là. » Reprend t-elle en s'agenouillant lentement pour laisser le rongeur s'extirper d'entre ses doigts. La jeune enfant sursaute au bondissement de l'animal qui s'éloigne rapidement au loin, sans se retourner il trace son chemin encore secoué sans doute de cette captivité éphémère dont il fut le principal témoin. Un sourire franc s'observe sur ses fines lèvres et elle expire d'un sentiment soulagé que le petit animal puisse partir sans qu'il ne lui arrive rien de grave.

La petite souris du désertNaerys Martell & MDJ,[Quand elle était chez les Poulet]Naerys n'était pas réellement surprise en entendant les paroles de la petite fille face à la proposition qu'elle lui avait faite. En effet, pour le petit peuple, ce simple châle avait une grande valeur, dû à la richesse de son tissus et dû à sa coloration. Mais pour Naerys, ce n'était qu'un simple vêtement parmi d'autres. Insistant d'un simple sourire, la Dornienne secoua sa tête, déposant délicatement ses doigts sur l'épaule de Shaela pour venir à lui répondre d'un ton doux.

« Au contraire, il te va très bien. On dirait une petite princesse. »

D'un oeil distrait, elle observa le rongeur quitter la main de l'enfant pour venir à fuir dans le désert. Elle se doutait bien que la petite n'allait pas le garder pour l'éternité, il n'était pas fait pour ça, après tout. Demeurant silencieuse pendant quelques brefs instants, Naerys retira finalement ses doigts de l'épaule de Shaela, laissant ceux-cis au long de son corps, un air tranquille au visage. Le calme du désert donnait un sentiment particulièrement relaxant à Naerys, comme si rien n'était plus important à part le moment présent. Elle déposa finalement ses yeux sur l'enfant. Devrait-elle rentrer voir sa famille et la caravane, à présent? Naerys imaginait que son départ du château des Poulet ne sera pas remarqué; après tout, ce n'était pas à cette heure-ci que le seigneur la demandera. Et au pire, elle saura bien trouver une excuse pour son absence temporaire.:copyright:️ 2981 12289 0

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La petite souris du désert

« Merci, j'en prendrais soin c'est promis ! » Lança t-elle dans un élan enfantin mêlant vérité et une innocence dont seul les enfants ont le secret. Elle tendit sa main pour prendre celle de la jeune femme un sourire arborant ses lèvres puis vient se réfugier dans sa tunique pour exprimer sa reconnaissance. Son regard se porte vers les caravanes marchandes, le feu de camp au loin éclairait fébrilement les abords de la montagne et du fief vers lequel ils étaient installés temporairement.

« Je devrais rentrée maintenant... » se conforta la petite Shaela en retournant son visage vers le sien. La nuit se faisait de plus en plus froide, et bientôt on ne distinguerait plus aussi aisément sillons creusés dans les hautes montagnes et leurs chemins. Elle se dirigea en compagnie de de la princesse arborant fièrement le cadeau qu'elle venait de lui faire. Au moment des adieux, Shaela releva un pan de ses vêtements une petite sacoche solidement attachée autour de la taille. Elle en sortie une chose, mystérieuse auquel elle apposa dans le creux de sa main.

« N'ouvre pas ta main avant mon départ, c'est mon cadeau pour toi. » Elle tenait avant tout à ce que la jeune femme ne pose pas les yeux sur l'objet avant qu'elle n'est disparue de sa vue. Shaela retrouva le chemin de sa famille, du jeune garçon avec qui elle s'amusait peu avant leur rencontre. Les éclats de rires s'estompèrent et puis le silence reprit sereinement sa place. En entrouvrant la main, Naerys pu distinguée la forme douce d'une patte d'un animal très prisé sur le territoire dornien. Il s'agissait là d'une patte de fennec, auquel était accroché un lacet de cuir comme pour porter bonheur ou chance à son détenteur.

Rp quête terminé

Récompense de quête secondaire

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- Patte de Fennex : Pendentif qui porterait chance il vous permet de lancer un dé supplémentaire dans l’exécution de vos actions. ( +1 dé à tout vos lancés augmentant la réussite de vos actions en jeu ) à ajouter à votre inventaire. ( Profil > feuille de personnage )

200 points de réputation à réclamer dans les demandes diverses.

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