We need to speack about the futur ( feat ashara)

We need to speak about the futur
An -111, mois 09, Semaine 1 Le soleil illuminait cette merveilleuse journée. Les Gargalen tâchaient de remonter la pente douloureuse. L’an -112 était à graver dans le marbre. Mon père avait récupéré les prérogatives qui incombait à son rang. Je le savais, via la missive de ma mère qu’il avait rejoint Selenia pour procéder à l’échange qui sauverait la jeune Naerys. Erris savait dicter ses conditions, il avait frappé un grand coup. S’il prenait le pouvoir , nombre de libertés semblaient compromises. Erris devait périr. Mais à l’instar des cafards et autres créature nuisible…il semblait increvable. Mon père était parti en gage de neutralité. Si al rencontre dégenrait, il serait en première ligne.

Mes pas foulaient le sol des Dayne. Je traversais la cours pour attendre une annexe du bâtiment principal me rendant ainsi dans un droit que j’avais bien trop peu fréquenté dernièrement. Entre ma grossesse et ma convalescence les Sept et moi nous nous étions assez…éloignés. La lourde porte s’ouvrit. Le silence ambiant me frappa. La chapelle des Dayne ne m’avait que trop peu servie depuis mon entrée à leur service. Le regard que j’avais sur notre monde semblait biaisé. Comment les dieux pouvaient tolérer une telle haine. Une telle perdition, le monde n’était qu’un gigantesque terrain de jeu pour eux. Lorsque Salrivage était tombé, c’était à ce moment-là que j’avais compris que les dieux préféraient se montrer spectateur, la folie et autre misère humaine les divertissaient. Puis peu à peu j’avais commencé à me détourner de leur chemin, bien assez pour comprendre que sans eux…Seul le vide persistait.

Le vide, depuis ces dernières semaines j’avais la certitude que je devais retrouver ceux en qui je croyais depuis l’enfance, car au fond il nous donnait ce qui s’avérait nécessaire pour avancer…Un but. La pierre froide meurtrissait mes genoux tandis que les reflets de l’effigie des Sept animait ma rétine. Un moment d’introspection repensant aux moindres étapes qui ont fait de moi la personne que j’étais. Étais-je une hérétique aux yeux des Sept pour avoir commis le péché de chair, si toutefois je l’avais commis. Aux yeux de nos règles, si l’enfant à bien été conçu c’est qu’au fond je le désirais. Je sais, comme certaines personnes de confiance que ce n’a guère était le cas. Jamais je n’avais désiré une telle chose. J’ai été souillée c’est là l’unique vérité ! Peu de gens hormis les Dayne et Selenia ainsi que ma famille connaissait la vérité. Fermant les yeux, les mains jointes, je repensais à tout cela me demandant ce qu’allait être mon destin avec cet enfant fruit d’un viol. Allais-je devoir m’me débarrasser ? Non trop injustice de priver de la vie une créature aussi innocente.

L’introspection achevée je désertais alors la chapelle pour rejoindre Ashara dans le petit salon. Cette dernière devait se trouver en compagnie de la petite. Je saluais les gens sur mon passage, encore un peu fatiguée de mon accouchement. Je pénétrais donc dans cette pièce, les gazouillis de la jeune Dyana me rendis le sourire.

- Elle est splendide… Dommage qu’elle ne tire pas plus de moi.

Caressant le petit menton si frêle mon regard se porta alors sur Ashara , accoudée au balcon. Sans elle je serais probablement disgraciée voir pire… Humiliée.

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An -111, mois 09, Semaine 1Ce petit corps frêle, cette mimique qui oscillait entre bâillement et sourire elle pouvait l'observer et la contempler à longueur de journées. C'était là le miracle de la vie, une histoire qui se transmettait de génération en génération pour faire perdurer l'espèce humaine. L'odeur enivrait la plénitude et le bonheur des nouveaux jours. Dans cette époque si étrange que celle-ci vivait il fallait se rappeler que certaines choses elles ne changeaient pas. Elle laissait son index se détacher progressivement de la petite main de la jeune fille moitié Gargalen et moitié sel. Quelque chose qui n’effrayait pas Ashara Dayne fille du lord des Météores. Après tout ce n'était qu'un nourrisson et que pouvait-on bien reprocher à celui-ci ? Il n'avait rien demandé et il n'avait rien à se reprocher si se n'est celle d'être le fruit d'une agression.

Alors elle se déplaça jusqu'au balcon pour entrevoir ce paysage qui accueillait le soleil radieux sur les vastes terres de Dorne. Dans son regard améthyste règnait une détermination aussi dévorante et silencieuse qu'il paraissait improbable de pouvoir contenir cette force destructrice. Pourtant elle en était l'incarnation parfaite, une femme de conviction avec ses atraits et ses forces transmises par son propre père. Sa famille, son nom représentait ce qu'il y a de plus grand et de plus spectaculaire en ce monde. Elle en serait digne c'est ce qu'elle se répétait à longueur de temps.

Elle tiendra nécessairement de vous, car c'est vous qui allez l'élevez. C'est à ça qu'on reconnaît les vraies parents.

Réplique-t-elle dans convaincue que lady Gargalen allait faire une parfaite mère. Avec toutes qualités et les faiblesses que le rôle d'une mère offre au regard des autres.

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An -111, mois 09, Semaine 1

Ambiance musicale

Les mains jointes, à genoux , dominée par l’effigie de la Mère l’une des Sept je me tenais là priant pour la santé de la nouvelle Dyanna , priant pour le salut de ma cousine ayant rejoint les sept bien trop prématurément. Recitant à voix basse :

“Je vous salue ô Mère pleine de Grâce, les Septs sont avec vous. Soyez clémente envers cette petite âme dont j’implore votre protection. Elle n’a pas été conçue selon vos préceptes mais n’en est pas moins ma fille. Veillez bien sur ma cousine, victime du mal. Bénissez-nous ainsi que mes parents et ma sœur…“

Me relevant une fois mon acte de piété terminée je désertais cette chapelle non sans avoir été interpellée par un homme, agrippé par le bras il me stoppa dans ma course. Lâchant un soupir mon regard se porta alors sur celui qui avait fait ça. Le chapelain de Dayne me tenait, desserrant peu à peu sa prise pour enfin me relâcher un sourire cordial se lisait sur ses traits. Mais que voulait-il ? Avait-il entendu ce que j’avais dit devant l’idole ou plutôt était-ce une manière de faire son devoir. Arrangeant le pli de ma manche dû à sa prise je répondis par le même sourire.

- Lady Allyria …Cela fait quelques fois que je vous vois ici…Vous semblez préoccupé ? Y a-t-il quelque chose qui vous pèse ?

Que pouvais-je bien lui répondre ? Que le bébé était issu d’un viol et qu’en ce sens j’avais commis un important pécher au regard des Sept ? Que j’éprouvais quelques choses pour la fille Dayne alors que la foi proscrivait ce genre de pratique ? Tout dire risquais de nous nuire a tous les deux et à ma fille, souriante je répondis toutefois une partie de la vérité.

- Ne vous inquiétez pas c’est l’idée d’être mère…La criante de ne pas être à la hauteur.

Croire en moi et me faire conseiller auprès de la mère d’Ashara, c’était là ce qu’il m’avait répondu. Je pris congé de l’homme de foi regagnant ainsi le bâtiment principal. Une chose était sûre, ma vie allait dorénavant changer , prendre une toute nouvelle tournure. Fiancée à Ser Cathal Dayne , une fois les noces officialisées je deviendrais la Dame de Météore. L’appréhension m’envahissait déjà. Je rejoignis alors la Dayne dans un des salons

Jouant avec la petite Dyana, caressant son visage si frêle, touchant du bout de mes doigts ce petit nez je ne pouvais que sourire face à ces petits gazouillis. La voix d’Ashara retentit du balcon , sans quitter ma si jeune fille ses yeux je répondis.

- Vous avez sans doute raison…J’en ferais une femme à mon image. Mais Je ne sais pas par quoi commencer ? Comment devrais-je m’y prendre ?

Rejoignant Lady Dayne sur le balcon je pris place à ses côtés, m’accoudant de la même manière. La vue y était splendide. Des râles d’efforts faisait écho avec le vent , plus bas, dans la cour Cathal s’entrainait avec notre maitre d’arme , il rendait coup pour coup.

- Qu’en est-il de votre frère ? Que pense-t-il de tout cela ?

Elle pouvait toutefois remarquer que je portais cette bague de fiançailles offerte par son frère peu de temps plus tôt. Admirant ses prouesses à lance, ses pas semblaient assurés.

- Il ne manque pas d'assurance, il a l'air doué !

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An -111, mois 09, Semaine 1La prière était une chose dont Ashara n'était pas la plus coutumière. Elle laissait sa aux religieux bien qu'elle soit une fidèle des Sept. Elle ne se dévoilait pas au point de devoir prier à genou devant publique tenue pourtant cette fois elle joignit ses mains et pria elle même pour la bâtarde de sa dame de compagnie.

Peut-être pour commencer la confiée à une nurse. Vous êtes à mon service et bientôt l'épouse de mon frère vous devriez donc faire en sorte de dégager un peu de temps pour vous appliquée à faire ce pourquoi vous êtes ici.

Il n'y avait pas de honte à lâcher un peu de bride dans le rôle maternel. Après tout les nourrices étaient ici pour permettre de garantir repos et tranquillité d'esprit aux mères.

Mon frère connaît les enjeux de ce mariage et il sait ou est sa place. Il accomplira son devoir comme tout homme digne et honorable doit le faire. Tachez de tenir votre rôle.

Cathal était un homme bien merveilleux à ses yeux. C'était le frère que tout le monde souhaiterait. Il s'impliquait parfaitement dans ses prérogatives et ses futures responsabilités.

Vous vous surmenée beaucoup trop... D’où vous vient cette inquiétude ? On dirait que votre séjour captive des fer-nés vous a profondément marquée et c'est tout à fait normal. Il faut songer à vous reposer.

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La petite fille qui se tenait sur ce landau était certes le fruit d’une agression, mais elle avait le droit de vivre, petite chose innocente. Réfléchissant à l’avenir, il était clair que l’incertitude allait occupait ces prochains mois. Même si mes fiançailles m’accordaient protection et une légitimité certaine si la vérité venait à éclater la petite pourrait courir un grave danger. C’est alors que Lady Ashara me fit part d’une décision que je pourrais prendre amis qui ne m’enchanter guère.

- J’ai parfaitement conscience qu’élever un enfant est chronophage et drainent une bonne partie de notre énergie, mais je n’ai pas d’autres choix. Je n’ai aucune confiance envers les nourrices , sil elle venait à apprendre al vérité !? C’est un pari risqué que vous me demandez là Ashara et je ne suis pas sûre de vouloir le prendre .

Me rapprochant d’elle et m’accoudant sur le balcon de la même manière, je ne pouvais m’empêcher de ce que serait l’avenir une fois le patronyme des Dayne officiellement ajouté à mon prénom. Étais-je digne d’une aussi prestigieuse maison ?

- Au moins Cathal n’a pas à s’inquiéter de ma capacité à assumer mes devoirs conjugaux et ma faculté à engendrer…C’est déjà ça… Mais...Je ne suis pas dupe, je sais qu’il désire un autre parti plus à la hauteur de son rang.

Ma main qui tenait le barodage de granit vint toutefois se coller sur celle de la Fille des Météores, un geste calculé. Était-ce el moment de vider son sac ? Où était-il encore trop tôt. Comment réagirait son frère en l’apprenant.

- En tout cas je me sens en sécurité ici protégée par une des plus grandes armées dorneinne. Mon père est un homme d’arme certesmais notre force nous rend assez vulnérables comme vous avez pu le voir.

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An -111, mois 09, Semaine 1Ses craintes elle pouvait les entendre. Elle ressentait toutes ses choses bien qu'ayant été endurcie par son père pour être une Dayne forte et digne.

Leur confiée votre fille ne fera pas de vous une mauvaise mère. Elles sont tenues de me servir comme vous et la loyauté ici est indéfectible.

Sa réponse obliquait sur le sujet suivant. Son frère Cathal serait sans doute ravi d'apprendre que sa future femme était fraîchement disposée à lui donner une descendance. Elle se demandait si son frère lui n'était pas trop coulant à ce sujet. Cela semblait trop facile pour que cette maison soit sur le chemin de la grandeur et il valait mieux être vigilant. Elle savait le sacrifice que Cathal faisait mais c'était un arrangement convenu et pour cela il valait mieux ne pas contredire ceux qui géraient cette affaire.

Mon frère est un homme respectable il vous comblera j'en suis sûr. Vous serez à la hauteur des événements. Faites en sorte d’atténuer vos angoisses se n'est pas bon pour votre enfant ni pour vos futures grossesses.

Elle saisie sa main avec un sourire franc et déterminé à lui montrer qu'ici aux Météores rien ne pouvait inquiétée la quiétude de la maison Dayne. Les Montagnes en étaient témoin et auteur. Ici rien ne lui arriverait.

Soyez forte pour votre famille, faites preuve de tempérance et d'abnégation et vous serez récompensée par la lueur et la chaleur de notre Mère.

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An -111, mois 09, Semaine 1

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Le soleil baignait la forteresse ancestrale des Météores dans son aura de puissance, la journée était magnifique. J’écoutais ce qu’Ashara me disait , elle n’avait pas tort, et je devrais certainement me dégager du temps même si pour le moment tout ceci m’était impensable.

- Certes…Mais comprenez ma réticence …Je ne peux laisser une autre personne veiller sur elle , si la vérité venait à éclater qu’adviendrait-il ? Je serais disgracié , peut être même exilée ou pire lyncher pour avoir couché avec l’ennemi alors que nous savons toutes deux que ce n’est clairement pas le cas !

L’idée du futur mariage provoquait en moi un étrange mélange, à la fois en proie aux craintes de ne pas être à la hauteur de mon futur statut mais aussi une certaine hâte de pouvoir bénéficier officiellement de la protection des Dayne. Cathal avait accepté cet arrangement, mes parents ainsi que la mère des Dayne était à l'Origine d'un tel accord, alors que nous savions tous que l’héritier des Météores méritait un parti réellement plus digne. Les Noces étaient prévues dans quelques mois si tout ce passait bien, peut être que d’ici là la guerre civile s’achèverait. Combien de gens encore ce maudit conflit arracherait à la vie ? Seuls les Sept détenaient la réponse.

- J’ai fait le serment d’honorer mon engagement lorsque votre frère et moi nous nous somme fiancés. Cette bague en est la preuve ! Aussi je promets devant les Sept de tâcher de rendre Cathal heureux. Je ferais tout pour le combler et me montrer digne d’une famille de votre rang.

Lady ashara me saisit la main d’un geste plein de douceur, malgré ses mains quelque peut rugueuse qui semblait avoir du vécu. Surprise sur le coup mon regard se posa toutefois dans celui de la fille des Météores. Comment -tout avouer ? Était-ce réellement le moment ? Comment le prendrait-elle ? Aux yeux de la foi il s’agissait pourtant d’un crime !

- Notre Glorieuse Jouvencelle membre des Septs dresse parfois ses plans …ces derniers peuvent surprendre. En effet, avec elle on ne sait jamais de qui on tombe réellement amoureux….

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An -111, mois 09, Semaine 1Il y a du vraie dans ce que vous dites lady Gargalen.

La loyauté était une qualité dans certaines contrées du vaste monde. Dans le cas de Dorne celle-ci pouvait parfois vacillé mais pas la sienne. Dayne était un symbole de gloire et surtout de fidélité. Son nom et ses ancêtres avaient tenus leurs rôles. Leurs partitions avaient été ponctuées d'ambitions et de noblesse. Par dessus tout la confiance mutuelle était un atout crucial dans les conflits qui allaient advenir.

Votre dévouement vous honore mon frère connaîtra la chance de vous avoir en tant que conseillère et épouse.

Elle le pensait intiment. Même si ce mariage arrangé devait avant tout cacher les soupçons de disgrâces de cette dernière. Quand aux paroles inquiétantes de celle-ci elle ferait mieux de les mettre sous silence.

Me prenez vous pour une idiote ? Cessez donc d'en parler ouvertement les murs ont des oreilles.

Elle lui assène un regard de colère elle ne devait pas parler ainsi. Ni ci ni ailleurs, jamais. Elle s'en retourna vers l'intérieur de la pièce et lui dicta sa conduite passant une main sur la joue du bébé.

Remplissez votre rôle Allyria c'est tout ce que l'on vous demande de faire. Ou vous ne serrez qu'indigne à protéger cet enfant.

Elle tourne les talons et s'en va rejoindre son père.

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An -111, mois 09, Semaine 1

- Je m’en voudrais si je vous engage dans une guerre contre les fer nés et leur prétention sur Salrivage mais c’est ensemble que nous pourrions les battre, pour le moment cette alliance passée avec ces sauvages me rassure mais qu’en sera-t-il après sa dissolution ?

Elle prend sa main et tente de lui sourire malgré tout , de rester forte. Les futures taches qui m’incombent allaient faire de moi la dame des Météores mais après tout , ma mère ne m'avait pas toujours préparé en ce sens ? A devenir la parfaite épouse, a la foi aimante de son mari mais aussi doté d’une bonne connaissance politique pour le seconder.

- J’ai toujours eu à cœur d’être loyale, Loyauté, sagesse et force sont les trois vertus qui rythment ma vie comme elle rythme celle de ma mère …Et c’est précisément ce que j’inculquerais à cette petite fille et les futures enfants de Cathal.

Dis-je en montrant le landau d’un bref signe de tête. C’est alors que la conversation dériva et j’en étais venu à parler de mon attachement pour Ashara, son visage se fit plus sévère et froid , sa réaction ne fit pas attendre longtemps.

- Non naturellement, je n’ai rien dis de mal, enfin bref veuillez m'excuser !

Réaction qui en mon sens était légère disproportionnée selon moi, je m’étais pourtant assurée qu’il n’y avait personne à ce moment-là , ni dans la suite ni sous le balcon , nous étions seules. Quittant le balcon , observant lady Dayne caresser affectueusement le bébé j’écoutais ce qu’elle avait à dire, elle était cinglante.

- C’est ce que j’ai toujours fait Lady Dayne..Et vous en avez conscience , vous le savez au fond de vous…

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