Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon )
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Sujet: Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon ) Jeu 16 Déc - 18:48
Bedwyr de Longarc
« c'est la volonté du Père et le bras armé du Guerrier »
Généalogie : écrire ici les noms des membres de votre famille de la branche principale, secondaire et ou par alliance.
Nom Prénom : Bedwyr de Longarc Feat. : Jonathan Rhys-Meyers Surnom : Le croisé
Personnage
Royaume : Val Lieu de naissance : Longarc un village du fief. Qualités : observateur, pieux, fier, fidèle Défauts : sans pitié, haineux, intolérant, interdit Maison : Je ne suis pas noble Allégeance : Roi du Val d'Arryn Statut matrimonial : Célibataire par conviction
Anecdotes
- Il fut confié au seigneur Veneur, son père lui obtient compensation espérant une meilleure vie. - Roturier de naissance il eut éducation et a été capable de s'instruire par la suite. - Il porte les éperons pour sa fidélité et son service contre les montagnards. - Il prit le nom de Longarc car c'est là bas qu'il vit. - Il ne prendra épouse car il sait des religieux que la chair pervertit le cœur mais aussi l'esprit. - Sa mère lui portait les prières qu'elle connaissait à force de récitation avant de s'endormir. Il récite chaque jour que la Mère fait qu'il soit encore en vie. -Le Croisé est un surnom car on ne sait pas réellement ce qu'il est homme de Foi ou soldat. -Il considère le seigneur Veneur comme son véritable père. Il sera à jamais son loyal serviteur.
Attributs
Âge : +30 +3pts Milieu social : vie rude 3pts Rang :Supérieur
Histoire
- Bedwyr, il s'appelle Bedwyr monseigneur.
Quand le briquetier répondit à cette demande il était loin d'imaginer l'avenir que lui réservait son père. Il n'avait alors qu'onze années et le jeune garçon fut emmener un baluchon attaché au corps frêle et frigorifié. Son esprit arrive parfois à reconstituer sa triste enfance. Une mère qu'il lui avait été arrachée par la maladie. La vie dans un petit hameau en bordure d'un village dont il peine aujourd'hui à vouloir y revenir. Le cœur de l'homme est rude, froid comme la pierre. C'est que pour lui Bedwyr est un incompris. Il ne savait pas si c'était un manque d'argent ou le souhait d'un père pour son fils à obtenir une meilleure vie.
Longarc une citée qui le vit grandir. Là ou les repas manquaient avec sa famille, aujourd'hui son toit lui en offrait un chaque jour pour remplir son estomac vide. Cela l'enfant lui s'en fichait et l'homme aujourd'hui adulte à encore du mal à se sortir du déni. Sa jeunesse était tout ce qu'il avait à offrir. Il rentra au service du seigneur comme serviteur et bien d'autres avant lui. Son avenir se traça lentement quand il prit de la masse et de la force. Sa rage il la canalisa dans les prières, dans l'amour qu'il portait et vouait à sa mère. Elle était sa lumière, celle qui le bordait en récitant les bénédictions du mieux qu'elle connaissait. Sa pauvre et tendre mère... Que ne donnerait-il pas pour qu'elle lui chuchote des mots doux au creux de son oreille. Le réveil dissipait ses rêveries, elle n'était plus de ce monde belle et bien partie. Mais dans son cœur, la foi elle la faisait vivre.
Son nom c'était sa mère qui l'avait choisit. Elle s'imaginait sans doute qu'il aurait un modeste avenir. Alors peut-être qu'en lui offrant un beau prénom cela pouvait améliorer sa vie. Qu'il ferait en fils de briquetier un bien plus joli mari. Les années passèrent et jamais il n'entendit plus parlé de son père. C'est dire que le pauvre garçon était fort loin de chez lui. Des remords il en avait beaucoup qui pesait en lui. Culpabilisant de n'être qu'une charge, un poids trop lourd à porter pour son paternel. Une bouche à nourrir qui signerait leurs fins à tout les deux.
Bon fut son maître qui dans un élan de cœur le confia aux Sept. Il n'allait pas devenir homme de Foi c'était destiné aux deuxièmes enfants des seigneurs. Pourtant il aimait prier, chaque jour que les Sept faisaient. Il apprit à lire la juste parole auprès des ecclésiastiques. Lui qui n'était pas issue de la noblesse accédait dans le cadre d'un geste pieux et généreux du seigneur Veneur. Il ne saura jamais pourquoi il fut sauvé, pourquoi lui et pas un autre ? Avait-il une raison plus valable que celle d'un cœur, d'une âme charitable qui voulait agir par bonté. Il ne le saurait sans doute jamais.
La voie des armes était une nécessité. Son seigneur en avait le droit de vie ou de mort sur sa tête. Quand on naît dans les contrées brumeuses du Val mieux vaut savoir user de sa tête et avoir à sa portée une arme. N'importe laquelle de préférence une qui vous gardera loin des montagnards. Avoir de la force, de l'honneur, être fidèle et savoir pardonner. Cette dernière lui était compliquée. On ne pouvait accorder à ses bêtes, ils étaient indigne de le recevoir. Il avait mûri en lui cette haine. Dans la colère de voir sur son passage à la suite de son seigneur des villages entiers brûlés, saccagés. Cela il ne leur pardonnerait jamais. Il préférait mourir une épée en main dans une bataille en suivant les préceptes plutôt que d'accorder le pardon à ses êtres abjectes. Ils ne méritaient rien d'autre que le fer. Bedwyr avait prit l'habitude d'imiter ses pairs. Son seigneur et ses vassaux eux qui allaient défendre le Val et le roi savaient ce qu'ils faisaient. Dans l'esprit d'un enfant on façonne à partir de ce que l'on voit. Il y avait des choses qui lui faisait ressentir l'effroi. Il fut en âge de se battre, il porta l'étendard de son seigneur et marqua son corps sous les griffes acérés des païens plus d'une fois. Bedwyr était à l'image d'une lame, que l'on façonne et qu'on instruit pour devenir l'outil nécessaire pour combattre le mal. Pour sauver le Val, son Val. Il marqua les esprits lui qui était né sans bien ni nom obtient le titre de chevalier. On le nommait ser Bedwyr de Longarc. Au service des Sept et de la maison Veneur il apprit beaucoup, on lui donna plus qu'aucun roturier ne pourrait un jour dans sa vie obtenir. Il le rendrait au centuple aux Sept, à monseigneur Veneur et surtout au Val d'Arryn.
Saul
« Religieuse quand tu nous vois ne veux tu pas détourner de chemin ?»
Sujet: Re: Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon ) Jeu 16 Déc - 19:23
Bienvenu à toi ! En voilà un curieux personnage.
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Sujet: Re: Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon ) Jeu 16 Déc - 19:32
Bonsoir ahah je ne suis pas curieux je suis pieux très chère dornienne de Bois-Mouche !
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Sujet: Re: Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon ) Jeu 16 Déc - 19:52
Bienvenue! Ça fait toujours plaisir de voir des coreligionnaires arriver.
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Sujet: Re: Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon ) Jeu 16 Déc - 23:37
J'aime les hommes empreint de piété. Merci pour ce message
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Sujet: Re: Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon ) Ven 17 Déc - 1:27
Bienvenue !
Khaelys Timbal
Rp's : 3418 Arrival : 11/09/2020 Faceclaim : Rhiannon Fish @ BangLocalisation : Aux côtés d'Alrik
Sujet: Re: Sonne le tocsin Filibert ! Que les Sept nous ouvrent les portes à notre éveil ( Abandon ) Ven 17 Déc - 11:08
Bienvenue
Bienvenue sur The Wild Kingdom Bedwyr de Longarc ! Tu es validé au rang "Supérieur" ! Venant d'un royaume en sous effectif, tu as le droit à 50 points bonus que le staff te donne automatiquement, pas besoin d'aller les réclamer !